Généalogie de la famille PENFENTENYO

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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Re bonjour

Merci beaucoup Mesdames :wink:

Bonne journée
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Jean Claude
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Bonjour,

Aujourd'hui une transcription du testament de Nicolas de PENFENTENYO du 16 septembre 1535, où il est question de ses nièces LE VEYER.

Il doit y avoir deux ou trois "fans" des VEYER à qui cela fera plaisir :wink:

Image
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Jean Claude
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Anne-F. GRALL-PERES
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Message par Anne-F. GRALL-PERES »

Bonjour Jean-Claude :D

:oops: Je dois reconnaitre que je fais partie du fan-club LE VEYER :wink:

Outre "Piesone" de P. mariée à Guillaume LE VEYER, on peut donc en conclure qu'une autre soeur
de ce Nicolas avait épousé un LE VEYER (feu Laurent), dont cette nièce Françoise LE VEYER "dame de Kerment" (?).

Annexement, je m'interroge sur ce prénom de "Piesone"...ne serait -ce pas plutôt "Plesoue", plus probable au XVIème siècle ?

Autre question : quel était le titre de ce Guillaume LE VEYER (x Piesone de P.) ?

Merci pour cet apport intéressant :D

Anne-Françoise
Cordialement.

Anne F. GRALL
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Re,

Oui, Plesoue dans un autre document.

Pour le titre de Guillaume Le VEYER, je n'ai pas.

Nicolas avait (à ma connaissance) 3 soeurs :

Plesoue X Guillaume LE VEYER

Anne X Jehan de COET(D)ELEZ, sieur de Kerbrat

Françoise X Tanguy de COATAUDON

et deux frères, Maurice (X marguerite de KERGUZ), et l'ainé (celui de l'acte, et son fils exécuteur testamentaire) Jehan X Marguerite de COET(D)ELEZ
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Jean Claude
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Quel prénom tu lis pour la Dame de Kerment ?

Je comprend que Françoise Le VEYER est fille d'une autre VEYER, Dame de Kerment, sans papa :?: :wink:
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Jean Claude
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Anne-F. GRALL-PERES
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Message par Anne-F. GRALL-PERES »

Je n'avais pas compris les choses comme cela :?

Je lis "feu" et non "feue", puis le prénom (Laurent :?:), et ensuite "dame de Kerment" pour la fille...
Mais tu as peut-être raison, je vais y regarder de plus près.

Anne-Françoise :)
Cordialement.

Anne F. GRALL
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Claudine DELAVEYNE
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Message par Claudine DELAVEYNE »

Anne-F. GRALL-PERES a écrit :Je n'avais pas compris les choses comme cela :?

Je lis "feu" et non "feue", puis le prénom (Laurent :?:), et ensuite "dame de Kerment" pour la fille...
Mais tu as peut-être raison, je vais y regarder de plus près.

Anne-Françoise :)


bonsoir à tous :D
moi je lis carantec :oops: comme prénom :? :oops:
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Bonjour,

Après une petite visite au SHD hier, voici la chronique de

Alain, Henri, Georges, Marie de PENFENTENYO de KERVEREGUIN

Image


(Source : Notice Biographique SHD - Dossier individuel conservé au Service Historique de la Défense (marine) à Vincennes sous la cote CC7 4ème Moderne 1012/1 - photos SHD Vincennes)

Né le 28 octobre 1921 à Larcan (Haute Garonne), il est le fils du vice-amiral de Penfentenyo de Kervéréguin (préfet maritime à Lorient en 1940 et défenseur de la place lors de l'arrivée des troupes allemandes (combats des Cinq-chemins à Guidel.). Alain, Henri, Georges, Marie de Penfentenyo de Kervéréguin entre à l'Ecole Navale en 1939.
Ses parents, alors domicilés au 23 boulevard Gregnan à Toulon, étaient en villégiature au chateau de Montpezat à Larcan, chez la grand mère Marie Louise de Mont de Benque

En septembre 1940, après promotion au grade d'enseigne de vaisseau de 2ème classe, il est affecté sur l'aviso La Boudeuse, puis le 1er septembre 1941, au croiseur léger Le Terrible jusqu'en novembre 1943.

Son officier instructeur écrit :
Caractère franc et droit. Très beau tempérement d'officier. Nature très douée. Dirigé avec fermeté il doit devenir un officier d'élite.

Pendant six mois, il est ensuite instructeur au Centre Siroco des fusiliers-marins, puis est nommé officier en second de l'escorteur Tirailleur. A son débarquement en janvier 1946, il est envoyé en Indochine où il reçoit le commandement d'une section de LCVP (Landing Craft Vehicle & Personnel) à Saïgon. Au cours d'une patrouille offensive sur le Donaï, il est blessé mortellement le 12 février 1946.

Le 27 août 1946, de Penfentenyo est nommé chevalier de la Légion d'Honneur et Croix de guerre avec palmes à titre posthume.

"Officier volontaire pour des missions périlleuses. Mortellement blessé le 12 février 1946 par des armes automatiques soutenues de mortiers aux environs du village de Thien-Quan, alors qu'il remontait le Dong-Naï. Après une énergique riposte de ses moyens de feu, et quoique perdant beaucoup de sang et souffrant visiblement, a continué à assurer la manoeuvre de ses LCVP qu'il a ramené au poste de Tan-Huyen.
A fait preuve d'un cran remarquable. Figure noble et magnifique incarnant les qualités de l'officier français".


Les derniers instants d'un héros :
Rapport du second maître Gabriel MORIN

A 8h10 nous longions la rive droite - sur ordre de l'E.V de PENFENTENYO, je rejoins le milieu du fleuve - à8h15 nous avons pris part un feu nourri d'armes automatiques et mortiers provenant de la rive droite - A la première rafale le lieutenant de Penfentenyo se trouvant accroupi sur le capot du moteur a été touché d'une balle à la cuisse droite qui a tranché l'artère fémorale, moi-même je suis blessé de plusieurs éclats de mortiers à la main droite.
Aussitôt je dirige le L.G.V.F. sur la rive gauche pour m'éloigner du champ de tir ennemi. Je signale que le tireur MANIC faisant preuve d'un sang froid remarquable a ouvert un feu nourri sur les positions ennemies.

Sur la rive gauche des tireurs isolés nous ont pris à partie a ce moment là le fusil mitrailleur du 5ème cuirassé se reprenant a ouvert le feu.

Nous avons encore parcouru une 60 de mètres au-delà de la ligne de feu - là j'ai reçu ordre de l'E.V. de Penfentenyo de faire demi tour me signalant qu'il était blessé. A ce moment là le lieutenant du 5ème cuir. et un soldat ont mis un garrot au blessé. Nous avons repassé le champ de tir ennemi tout en crachant de toutes nos armes - Arrivé à Tan-Uyen vers 9h15 nous avons débarqué le lieutenant à une infirmerie. Je signale qu'il n'y avait aucun médecin et qu'un simple pansement provisoire lui a été fait. Sur ordre du comandant de détachement de Tan-Uyen nous sommes partis sur Thudaimet avec un Dodge escorté d'une jeep, à ce moment là le lieutenant avait bon moral.

Nous étions partis de Tan-Uyen à 9h30 et nous sommes arrivé à Thudaumet à 10h30 - Nous avons vu un médecin (lieutenant de service à l'infirmerie de la caserne du 5eme Cuir.). Après avoir enlevé le garrot, sondage de la plaie, piqûre de camphre, se trouvant mal ; il me demande d'appeler l'aumônier de l'Armée.
Ce qui fut fait, le commandant du centre de Thudaumet fait évacuer le blessé sur Saïgon dans un camion Ford, moi-même évacue sur Saïgon d'après ordre du médecin lieutenant.
Heure de départ : 11h30 - AU cours de route l'infirmier lui fait une piqûre de morphine.
Le blessé a gardé ses esprits jusqu'à 12h15 heure où on lui fait la piqûre de morphine.
De temps en temps l'infirmier lui tâte le pouls qui allait faiblissant.
Vers 13h l'infirmier m'annonce la mort de l'E.V. de PENFENTENYO.
Après visite du médecin de service nous avons reçu ordre de conduire le corps à l'hôpital civil.

L'Enseigne de Vaisseau a été inhumé au cimetière de la rue de Massiges, à Saïgon, au coté du Capitaine de Frégate JAUBERT et de l'enseigne de vaisseau ICHON, morts pour la France les 26 et 28 janvier 1946.

Il est mentionné sur le Mémorial des Guerres d'Indochine à Fréjus sur le Mur du Souvenir - colonne 009 - plaque 041 - année 1946 - référence 2864
Amicalement 8)
Jean Claude
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Bonjour,

Voici un joli document déniché par Hervé BAUDY aux AD (1J90), un beau diplôme de Bachelier de 1675.

Image

Il y eu beaucoup de Charles de PENFENTENYO (au moins 7) nés dans les année 50, mais je pense que c'est celui ci :

Né le 24 juin 1652, fils de Sébastien, auteur de la branche de Kervereguin, et de Marguerite de KERVEREGUEN.
Baptisé le 23 fev 1653, aîné, seigneur de Mesnoälet et de Kervéréguen Kerandraon et Pontuall

Il épouse à 15 ans Louise DROUALEN, fille de René et de Renée RIOU qui s'est remariée avec Sébastien de P. (père de Charles)
C'est la fille de sa belle mère
Elle décède le 7 mars 1669 au manoir de Kerazan, pendant que Charles est absent pour ses études.

Charles décédera à 27 ans le 30/09/1679 au Manoir De Kervereguin
Témoins : Jean Et Marie Frère Et Soeur, esc.de Penfentenyo Charles Oncle

Les latinistes pourraient nous en donner une transcrition ... :wink:
Amicalement 8)
Jean Claude
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Bernadette Galatoire
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Message par Bernadette Galatoire »

Bonsoir Jean Claude, bonsoir à tous,

Non, pas une transcription, mais une traduction....en toute modestie il va sans dire :oops:

Comme je constate qu'on ne se bouscule pas au portillon :D je vous soumets donc ma version en espérant que j'aurais su respecter la solennité de cette époque :roll:

"APRES EXAMEN DES PRESENTES LETTRES LE DOYEN et le collège des docteurs, de la très avisée faculté de droit, à l'université spécialisée * de Paris, école [fondée] par acte du pouvoir [royal]; Salut dans le Seigneur. Les professeurs de droit, qui suivent la véritable philosophie, pratiquent la justice et la vérité, auxquelles il convient de s'appliquer, pour faire naître des gens de bien et éclairés à la recherche des valeurs. C'est pourquoi, comme, homme discret Maître Charles de Penfentenyo du diocèse de Léon, estimé et qui se recommande par sa probité de moeurs, aura progressé dans la jurisprudence au point d'être considéré par nous digne de recevoir la récompense réelle de ses études et pour qu'il puisse avoir grâce aux honneurs académiques l'accès aux dignités ecclésiastiques et civiles ainsi qu'aux charges, Nous, attachés à l'équité et à la vérité, faisons Bachelier Maître Charles de Penfentenyo préalablement cité, reconnu de toute l'assistance, après examen attentif et, après avoir soutenu publiquement dans notre école les thèses en droit qu'on lui avait prescrites ainsi que les autres thèses solennelles, conformément aux statuts de notre faculté et dans le respect des usages, et même le proclamons Bachelier en droit. Ce jour, vingtième du mois de décembre année du Seigneur mille six cent soixante quinze. En foi de quoi nous avons ordonné à Maître Nicolas Vachelot, notre prêtre scribe régulier, de préparer ces lettres et de les renforcer par le plus ancien sceau de notre faculté. Lutèce des Parisiens, jour et an préalablement cités."

{* bof, bof.......alma studiorum: quelle autre proposition feriez-vous ??}

Du côté de la "moralité", on n'en demande plus autant :shock: Autre temps, autre moeurs :wink:
Amicalement
Bernadette_CGF 4939Q
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Bonjour Bernadette

Merci :wink:
Amicalement 8)
Jean Claude
Hervé Baudy
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Message par Hervé Baudy »

Bon boulot, Bernadette

Pour "alma studiorum", il s'agit probablement de "alma (mater) studiorum", mère nourricière des études, locution qui désigne l'Université :roll:
Cordialement
Hervé Baudy
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Bernadette Galatoire
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Message par Bernadette Galatoire »

Bonjour tous

Merci Hervé, je je suis heureuse de partager avec vous ce que j'avais compris ainsi, mais n'ai pas osé le proposer, allez savoir pourquoi; donc je prends :lol: Et puis, l'expression est tellement belle :D

Bon dimanche
Amicalement
Bernadette_CGF 4939Q
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Bonsoir,

Je recherche des informations sur ce couple :

06/02/1773 Quimper Saint Sauveur (Pays : Quimper ) décès
DE PENFENTENYO Jean Baptiste
Conjoint : DU PERRIER Pétronille Josèphe
Notes : inh 07/02/1773

Si vous avez des idées .... :wink:
Amicalement 8)
Jean Claude
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Jean Claude Bourgeois
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Message par Jean Claude Bourgeois »

Bonjour,

Comme le forum est un peu en sommeil pendant cette trève des confiseurs, voici un peu de lecture :wink:

PROTESTATION de L'ORDRE DE LA NOBLESSE DE BRETAGNE- 1789

Nous, soussignés, gentilshommes bretons, composant l'Ordre de la noblesse, convoqués suivant les formes anciennes pour assister aux Etats dudit pays et duché de Bretagne, aux termes des contrats passés entre le Roi et lesdits États ;

Considérant que les lois constitutives de l'Assemblée nationale de cette province, étant la base la plus assurée du bonheur des peuples qui l'habitent, tout citoyen breton doit être attaché à leur conservation plus qu'à la vie, autant qu'à l'honneur même ;

Considérant encore que l'arrêt du conseil du 3 janvier attaque les droits et la dignité de l'Assemblée, en ordonnant sa suspension à l'instant même où elle venait de se former; que cet arrêt semble cacher sous un prétexte spécieux le projet de disperser les gentilshommes bretons au moment où ils ont le plus pressant besoin d'être réunis pour réclamer contre l'atteinte qui vient d'être portée aux droits dont la noblesse de France en général, et la noblesse de Bretagne en particulier, doivent jouir aux Etats généraux;

Considérant encore que la décision du conseil qui règle la forme de la convocation aux Etats du royaume, laissant envisager des incertitudes et des craintes sur la manière de délibérer aux Etats généraux, est une surprise manifeste faite à la religion de Sa Majesté, par un ministre qui ose opposer son opinion aux formes adoptées, consacrées par la nation française dans ses précédentes assemblées, à l'avis du Prince et des Notables qu'un Souverain chéri de ses peuples avait appelés auprès de lui pour éclairer sa justice sur une matière aussi importante ;
Considérant enfin que cet arrêt du conseil est aussi contraire à l'intérêt des peuples qu'à celui de la monarchie, du Roi et de la noblesse française dont les intérêts sont invariablement unis;

Protestons contre le résultat du conseil du 27 décembre 1788 et l'arrêt du conseil du 3 janvier 1789, pour la conservation de nos droits particuliers et pour les intérêts de la noblesse du royaume, dont les nôtres ne peuvent être séparés.
Persistant dans les principes qui ont dicté notre arrêté du 8 mai 1788, nous déclarons que tout changement qui serait fait à la forme constitutive des États de cette province, sans avoir été librement délibéré et consenti à l'unanimité par les Trois-Ordres, pour l'avantage de l'un d'entre eux, rendrait lesdits Etats inconstitutionnels, et que, si aucun gentilhomme consentait à être membre d'une pareille assemblée, sous quelque nom qu'on lui donnât, quand même il y paraîtrait forcé par des ordres qu'un citoyen ne doit pas reconnaître quand ils sont contraires aux lois, nous le regardons comme déshonoré, et sous le serment de l'honneur nous le déclarons traître à la patrie.
La présente déclaration est également prononcée contre ceux qui prétendraient représenter la noblesse aux Etats généraux, en vertu d'une élection qui n'aurait pas été faite dans le sein de l'assemblée nationale de la province

Signée par près de 1.000 gentilshommes de Bretagne, dont :

Jonathas-Marie-Hyacinthe de Penfentenio de Cheffontaine.
Alexandre-Marie-Fortuné de Penfentenio, chevalier de Cheffontaine

Extrait du Catalogue des gentilshommes en 1789 et des familles anoblies ou titrées depuis le premier empire jusqu’à nos jours 1806-1866 Auteur : La Roque, Louis de, 1830-1903 - Edité en 1866

La suite sera plus dure pour certains des signataires :wink:
Amicalement 8)
Jean Claude
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