Professions: Blatier, Etaleuse, Lignoriste, et ...
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Bonjour,
Je prend la suite avec un autre métier.
J'ai un couple de boisiers (x 1745).
Ils ont eu leurs enfants successivement à Laz (canton de Chateauneuf) lieu-dit Forêt de Laz puis Bois de de Kerveguen et à Berrien (Pays Huelgoat) lieu-dit Lestrezec.
Je suppose qu'ils se sont déplacés dans différentes forêts où ils travaillaient.
Savez vous quelque chose de plus précis ?
Merci
Cordialement
Annick
Je prend la suite avec un autre métier.
J'ai un couple de boisiers (x 1745).
Ils ont eu leurs enfants successivement à Laz (canton de Chateauneuf) lieu-dit Forêt de Laz puis Bois de de Kerveguen et à Berrien (Pays Huelgoat) lieu-dit Lestrezec.
Je suppose qu'ils se sont déplacés dans différentes forêts où ils travaillaient.
Savez vous quelque chose de plus précis ?
Merci
Cordialement
Annick
Annick Delacou
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- Francine Laude (†)
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Bonsoir,
J'ai trouvé dans le registre des mariages de 1861 à Landerneau une profession un peu curieuse (mais je suis nulle en bricolage
) :
28/05/1861 - Landerneau - Mariage de :
FAUCHEUX Paul Jean François ° 28/06/1834 à Paramé (35)
Profession : Charpentier clopé
BERDER Jeanne ° 16/11/1831 à Landerneau
Il n'y a aucun doute sur l'orthographe, le secrétaire de mairie écrit très bien.
J'ai trouvé dans le registre des mariages de 1861 à Landerneau une profession un peu curieuse (mais je suis nulle en bricolage

28/05/1861 - Landerneau - Mariage de :
FAUCHEUX Paul Jean François ° 28/06/1834 à Paramé (35)
Profession : Charpentier clopé
BERDER Jeanne ° 16/11/1831 à Landerneau
Il n'y a aucun doute sur l'orthographe, le secrétaire de mairie écrit très bien.
Cordialement
Françoise
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Françoise
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- Salmard-56
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Bonjour Françoise,
Rien trouvé sur ce charpentier clopé, il aurait pu s'agir d'une infirmité (de clopiner : boîter) mais puisque vous précisez qu'il s'agit bien d'une profession, ça ne peut pas être ça alors une simple hypothèse qui évidemment vaut ce qu'elle vaut : un clopeur était un battoir utilisé pour raffiner le sucre. Ce battoir aurait-il donné son nom à des outils du même genre dans d'autres domaines ? Dans ce cas, votre "clopé" pourrait être un clopier (j'extrapole
) à rapprocher des chaumiers qui utilis(ai)ent bien des battoirs, les deux professions allant de paire, ce pourrait être une explication mais sans valeur puisqu'aucune source ne va dans ce sens.
Cordialement,
Fabien.
Rien trouvé sur ce charpentier clopé, il aurait pu s'agir d'une infirmité (de clopiner : boîter) mais puisque vous précisez qu'il s'agit bien d'une profession, ça ne peut pas être ça alors une simple hypothèse qui évidemment vaut ce qu'elle vaut : un clopeur était un battoir utilisé pour raffiner le sucre. Ce battoir aurait-il donné son nom à des outils du même genre dans d'autres domaines ? Dans ce cas, votre "clopé" pourrait être un clopier (j'extrapole

Cordialement,
Fabien.
Bien cordialement, Fabien
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Bonsoir Fabien,
C'est vrai qu'un charpentier clopé, ça n'existe nulle part, par contre, un charpentier "classé", oui, les "s" étant faits comme des "p".
Il y a également des marins classés. C'est en voyant l'acte de mariage de ce "marin classé" que j'ai repris celui du charpentier et le pauvre, il n'était ni éclopé, ni clopé, mais bien "classé".
En ce qui concerne le marin, cela veut peut-être dire qu'il était engagé, car les témoins étaient également des marins, mais pour le charpentier
Peut-être, pouvez-vous nous en dire plus.
C'est vrai qu'un charpentier clopé, ça n'existe nulle part, par contre, un charpentier "classé", oui, les "s" étant faits comme des "p".
Il y a également des marins classés. C'est en voyant l'acte de mariage de ce "marin classé" que j'ai repris celui du charpentier et le pauvre, il n'était ni éclopé, ni clopé, mais bien "classé".
En ce qui concerne le marin, cela veut peut-être dire qu'il était engagé, car les témoins étaient également des marins, mais pour le charpentier

Peut-être, pouvez-vous nous en dire plus.
Cordialement
Françoise
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Françoise
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- Salmard-56
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vigouroux a écrit :le pauvre, il n'était ni éclopé, ni clopé, mais bien "classé".
Nous voilà déjà rassurés pour lui et pour les siens !

On trouve une lignée de charpentiers (les Leroux) dont l'un est dit classé. Et cet homme était charpentier de marine.
On trouve également, dans un acte de mariage, ce passage :
"qui en sa qualité de charpentier classé, nous a ? la permission de Mr le commissaire de l'inspection maritime du quartier de Royan".
Et en nota bene de charpentier classé : "il est charpentier de navires."
L'explication qui tient pour le marin, doit aussi tenir pour le charpentier de marine.
Cordialement,
Fabien.
Bien cordialement, Fabien
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Bonsoir,
Toujours sur les registres de mariage de Landerneau :
18/08/1862 - Landerneau
L'EQUILBE Pierre, Auguste, Eugène ° 29/05/1832 à Cherbourg
Fils de Pierre Joseph + 05/07/1834 à Cherbourg et MILLET Anne-Marie + 03/03/1837 à Cherbourg
Profession : Régent de mathématiques
DURAND Julie ° 14/06/1840 à Landerneau
Fille de Napoléon Pierre - Marchand tailleur et BRUNET Marie-Anne
J'ajoute que parmi les témoins, il y a un commis négociant, un rentier, un entrepreneur et un Agent secondaire des Ponts-et-Chaussées.
Toujours sur les registres de mariage de Landerneau :
18/08/1862 - Landerneau
L'EQUILBE Pierre, Auguste, Eugène ° 29/05/1832 à Cherbourg
Fils de Pierre Joseph + 05/07/1834 à Cherbourg et MILLET Anne-Marie + 03/03/1837 à Cherbourg
Profession : Régent de mathématiques
DURAND Julie ° 14/06/1840 à Landerneau
Fille de Napoléon Pierre - Marchand tailleur et BRUNET Marie-Anne
J'ajoute que parmi les témoins, il y a un commis négociant, un rentier, un entrepreneur et un Agent secondaire des Ponts-et-Chaussées.
Cordialement
Françoise
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Françoise
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- Salmard-56
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Bonjour Françoise,
Un régent (de mathématiques en l'occurence) était un enseignant d'université -plus rarement dans un collège- durant l'ancien régime, il fallait évidemment un niveau élevé dans la matière enseignée.
Pour le reste, après une petite recherche, le grade d'agent secondaire des ponts et chaussées est instauré en 1853 mais j'ignore pour l'instant son rôle réel, apparemment quand même, il était hiérarchiquement dépendant de l'ingénieur en chef et au même niveau que le conducteur de travaux.
"Employés secondaires des ponts et chaussées attachés à l'étude ou au service spécial d'un chemine de fer, d'un canal, d'une route ou d'une rivière naviguable. Correspondance sous bandes et dans le parcours du travail avec les ingénieurs en chef ou ordinaires"
Donc il n'était pas un "simple" cantonnier, pas ingénieur non plus... peut être l'équivalent du géomètre.
A+ tard
Fabien
Un régent (de mathématiques en l'occurence) était un enseignant d'université -plus rarement dans un collège- durant l'ancien régime, il fallait évidemment un niveau élevé dans la matière enseignée.
Pour le reste, après une petite recherche, le grade d'agent secondaire des ponts et chaussées est instauré en 1853 mais j'ignore pour l'instant son rôle réel, apparemment quand même, il était hiérarchiquement dépendant de l'ingénieur en chef et au même niveau que le conducteur de travaux.
"Employés secondaires des ponts et chaussées attachés à l'étude ou au service spécial d'un chemine de fer, d'un canal, d'une route ou d'une rivière naviguable. Correspondance sous bandes et dans le parcours du travail avec les ingénieurs en chef ou ordinaires"
Donc il n'était pas un "simple" cantonnier, pas ingénieur non plus... peut être l'équivalent du géomètre.
A+ tard
Fabien
Modifié en dernier par Salmard-56 le 07/02/2009 13:06, modifié 2 fois.
Bien cordialement, Fabien
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Bonsoir,
Effectivement, j'ai eu un début de réponses en ce qui concerne le Régent de mathématiques (on m'a dit Prof de mathématiques !)
Si c'est un professeur d'université, il n'est pas resté enseigner à Landerneau où il n'y a jamais eu, à ma connaissance, d'Université.
Il est possible que l'Agent secondaire des Ponts & Chaussées travaillait sur la ligne de chemin de fer qui se construisait à cette époque dans la région de Landerneau.
A bientôt.
Effectivement, j'ai eu un début de réponses en ce qui concerne le Régent de mathématiques (on m'a dit Prof de mathématiques !)
Si c'est un professeur d'université, il n'est pas resté enseigner à Landerneau où il n'y a jamais eu, à ma connaissance, d'Université.
Il est possible que l'Agent secondaire des Ponts & Chaussées travaillait sur la ligne de chemin de fer qui se construisait à cette époque dans la région de Landerneau.
A bientôt.
Cordialement
Françoise
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Bonsoir
Voici ce que j'ai trouvé aux AD de l'Aude pour les agents secondaires des Ponts et Chaussées.
"A partir du mois d’ août 1853, les piqueurs et autres agents du service des Ponts et Chaussées, au dessous du grade de conducteur, attachés à la surveillance des travaux ou au service des bureaux des ingénieurs, prennent le titre d’employés secondaires des Ponts et Chaussées. "
Il s'agit donc d'agents d'un grade inférieur a celui de conducteur chargé soit de surveiller un chantier ou une équipe soit de taches de bureau.
Cordialement
Voici ce que j'ai trouvé aux AD de l'Aude pour les agents secondaires des Ponts et Chaussées.
"A partir du mois d’ août 1853, les piqueurs et autres agents du service des Ponts et Chaussées, au dessous du grade de conducteur, attachés à la surveillance des travaux ou au service des bureaux des ingénieurs, prennent le titre d’employés secondaires des Ponts et Chaussées. "
Il s'agit donc d'agents d'un grade inférieur a celui de conducteur chargé soit de surveiller un chantier ou une équipe soit de taches de bureau.
Cordialement
Le Guillou Joseph
09247
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