Bonsoir,
Le "longs sablons" ne serait-ce pas ce qui est connu aujourd'hui sous le nom des "blancs sablons" entre Ploumoguer et Le Conquet, plage d'une bonne longueur. Plusieurs forts d'architecture faisant penser à Vauban sont encore visibles près de cette plage (l'un de ces forts dans mon souvenir est nommé localement fort Vauban) ?
Philippe
"Les Fermes du Roy" Plouescat
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Philippe Terrieux (cgf 11704)
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Bonjour,
Le "Long Sablon" est l'ancien nom de la plage du Trez-Hir en Plougonvelin ; 3 batteries défendaient ce secteur, proche de Bertheaume. Sources : conférence de Jean-Yves Besselièvre, historien de la Fortification ; Littoral d'Iroise en Plougonvelin, association Phase, 2005.
Bonne année.
Jos Saliou
Le "Long Sablon" est l'ancien nom de la plage du Trez-Hir en Plougonvelin ; 3 batteries défendaient ce secteur, proche de Bertheaume. Sources : conférence de Jean-Yves Besselièvre, historien de la Fortification ; Littoral d'Iroise en Plougonvelin, association Phase, 2005.
Bonne année.
Jos Saliou
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Bonjour et surtout une bonne année à toutes et tous !
Absent depuis un petit moment, je découvre ce topic et j'avoue que la dérive du Suisse soldat au Suisse bedeau m'a bien amusé.
On trouve sur le net une chronologie des Suisses au service de la France* et le petit texte qui suit, qui nous rappelle ceux massacrés aux Tuileries :
Après tout ça, on peut se demander si nos cases "père inconnu" ne cachent pas un ou deux Suisses !
* qui, bien qu'intéressante, n'aborde pas la présence de ces soldats (puisqu'on ne peut plus parler de mercenaires à partir de 1567) en Bretagne, pas plus que leurs faits d'armes vers 1694 ou vers 1749 mais ça devrait se trouver.
Bien cordialement,
Fabien.

Absent depuis un petit moment, je découvre ce topic et j'avoue que la dérive du Suisse soldat au Suisse bedeau m'a bien amusé.

On trouve sur le net une chronologie des Suisses au service de la France* et le petit texte qui suit, qui nous rappelle ceux massacrés aux Tuileries :
- WikipédiaEn 1573, Charles IX de France institua les gardes suisses. En 1616, Louis XIII de France organisa les gardes suisses en régiments.
Dans la maison militaire du Roi, les gardes françaises avaient la prééminence sur les gardes suisses, ceux-ci ne venaient qu'après eux. Ils portaient un uniforme rouge réhaussé de bleu. Ils percevaient une solde double. Lors de la Journée du 10 août 1792, il défendirent avec bravoure le Roi et le palais des Tuileries. La presque totalité fut massacrée par la foule, après avoir, sur ordre de Louis XVI de France, cessé le feu et déposé les armes. Certains gardes suisses qui furent tués lors de la prise des Tuileries, furent inhumés à la Chapelle expiatoire à Paris (aujourd'hui square Louis XVI).
La Maison du Roi comprenait un corps de soldats suisses appelés gardes suisses ou Cent-Suisses.
Après tout ça, on peut se demander si nos cases "père inconnu" ne cachent pas un ou deux Suisses !

* qui, bien qu'intéressante, n'aborde pas la présence de ces soldats (puisqu'on ne peut plus parler de mercenaires à partir de 1567) en Bretagne, pas plus que leurs faits d'armes vers 1694 ou vers 1749 mais ça devrait se trouver.
Bien cordialement,
Fabien.
Bien cordialement, Fabien
suisses mercenaires
Bonjour
Bien d'accord avec vous sur l'absence d'infos sur ces soldats Suisses.
Par contre, on peut toujours parler de "mercenaires" même après 1567. Un certain nombre d'entre eux se sont mis au service des deux camps (Mercoeur, Henri IV) pendant la Ligue jusqu'en 1600. Un document nous indique d'ailleurs qu'un certain nombre d'entre eux étaient au service de la Fontenelle comme l'indique le rôle de la dernière compagnie qui a quitté le fort de l'Ile Tristan après la reddition de "la boulle".
Bien à vous
Yann Cochennec
Bien d'accord avec vous sur l'absence d'infos sur ces soldats Suisses.
Par contre, on peut toujours parler de "mercenaires" même après 1567. Un certain nombre d'entre eux se sont mis au service des deux camps (Mercoeur, Henri IV) pendant la Ligue jusqu'en 1600. Un document nous indique d'ailleurs qu'un certain nombre d'entre eux étaient au service de la Fontenelle comme l'indique le rôle de la dernière compagnie qui a quitté le fort de l'Ile Tristan après la reddition de "la boulle".
Bien à vous
Yann Cochennec