Ce document est particulièrement intéressant par l'impressionnante liste des anciennes chefrentes (depuis le tout début du XVe siècle) qui y sont sommairement transcrites. Leur interprétation pour la généalogie reste toutefois délicate !
Le rédacteur de ce précieux document (concernant principalement Lannilis, Landéda et Brouennou) sépare presque toujours les parties citées des dates des aveux respectifs (ce qu'on peut le plus souvent reconstituer, mais avec parfois un peu de confusion). Une étude minutieuse de l'ensemble des aveux qui sont ici résumés devrait permettre d'établir et de prouver bien des filiations, en s'appuyant avec prudence sur les "contributions".
Les GOLIAS y sont cités depuis 1436 (j'essaye de faire le point sur eux !), mais la prime de l'ancienneté et de la profusion revient aux membres de la famille AN EAUST (fort nombreux et apparentés aux GOLIAS).
Affaire à suivre.
Pascal
