Sur certains actes de mariage des 17è et 18è siècle, je trouve que certains témoins sont baptisés de "Ditrique" ; je n'ai pas retrouvé le sens de ce terme sur un Larousse (en 7 volumes) de fin 1800 ; j'ai le sentiment qu'il s'agit d'un tuteur, d'un curateur ou d'un parâtre puisqu'il est mentionné lorsqu'un conjoint est mineur de parent(s) défunt(s) (je parle de mémoire n'ayant plus les actes sous les yeux).
A ce propos (sujet connexe), j'ai cru observer que lorsqu'une jeune fille est mineure, elle doit disposer d'un tuteur même si sa mère est vivante quand elle est orpheline de père et qu'elle se marie ; ceci bien sûr sous l'ancien régime. Ai-je raison ?
Merci Jean Paul
Sens du terme "ditrique"
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- antennemorlaix
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Pour la mineure , mais aussi pour le mineur(<25a,), il faut un tuteur.Quand la mère est vivante, c'est elle le plus souvent qui est nommée tutrice par le conseil de famille. Le tuteur est surtout chargé de gérer l'héritage des mineurs, venant de leur père; car pour le mariage, il faut un nouveau conseil de famille pour le décret de mariage.
Entraide Morlaix
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- Claudine DELAVEYNE
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