Nomination à la confirmation
Modérateur : L'équipe du forum
- Jean-Yves KERBOUL
- Messages : 47
- Enregistré le : 10/02/2007 20:40
- Localisation : (29) Brest
Nomination à la confirmation
Bonsoir,
Trouvé dans les BMS de Guipavas :
"Anne Perrine, fille légitime de Pierre Cloarec et Barbe Chopin née le 17 juin 1707 a esté nommée aujourd'huy 30 juin 1717 à la confirmation Anne Perrine par l'évèque du Léon en présence du soussignant recteur ......".
(En fait, Perrine est née le 16 septembre 1707).
C'est la première fois que je trouve trace de ce sacrement dans les BMS, mais ce qui m'intrigue c'est que l'on se trouve ici en face d'un cas isolé au lieu de trouver tous les enfants de la même tranche d'âge. A moins que ce soit une cérémonie d'une toute autre nature.
Quelqu'un aurait-il une explication à ce sujet.
Trouvé dans les BMS de Guipavas :
"Anne Perrine, fille légitime de Pierre Cloarec et Barbe Chopin née le 17 juin 1707 a esté nommée aujourd'huy 30 juin 1717 à la confirmation Anne Perrine par l'évèque du Léon en présence du soussignant recteur ......".
(En fait, Perrine est née le 16 septembre 1707).
C'est la première fois que je trouve trace de ce sacrement dans les BMS, mais ce qui m'intrigue c'est que l'on se trouve ici en face d'un cas isolé au lieu de trouver tous les enfants de la même tranche d'âge. A moins que ce soit une cérémonie d'une toute autre nature.
Quelqu'un aurait-il une explication à ce sujet.
Cordialement
Jean-Yves KERBOUL
CGF 11118B
Jean-Yves KERBOUL
CGF 11118B
-
- Messages : 999
- Enregistré le : 18/11/2006 1:33
- Localisation : (29) Hanvec
Bonsoir
On trouve cet acte
17/06/1717 Guipavas baptême ou naissance
CLOAREC Anne Perrine Enfant de Pierre
et de CHOPIN Barbe
Parrain : ?
Marraine : ?
Cette fille n'a ni parrain ni marraine serait-elle morte née? Il serait peut-être intéressant d'avir une photo numérique de cet acte
En raison du décès récent les parents n'aurait -ils pas voulu renommer leur premiere fille Perrine avec les prénoms de anne Perrine?
Cordialement
On trouve cet acte
17/06/1717 Guipavas baptême ou naissance
CLOAREC Anne Perrine Enfant de Pierre
et de CHOPIN Barbe
Parrain : ?
Marraine : ?
Cette fille n'a ni parrain ni marraine serait-elle morte née? Il serait peut-être intéressant d'avir une photo numérique de cet acte
En raison du décès récent les parents n'aurait -ils pas voulu renommer leur premiere fille Perrine avec les prénoms de anne Perrine?
Cordialement
Le Guillou Joseph
09247
09247
Le Guillou Joseph a écrit :Bonsoir
On trouve cet acte
17/06/1717 Guipavas baptême ou naissance
CLOAREC Anne Perrine Enfant de Pierre
et de CHOPIN Barbe
Parrain : ?
Marraine : ?
Cette fille n'a ni parrain ni marraine serait-elle morte née? Il serait peut-être intéressant d'avir une photo numérique de cet acte
En raison du décès récent les parents n'aurait -ils pas voulu renommer leur premiere fille Perrine avec les prénoms de anne Perrine?
Cordialement
Bonjour ,
Il me semble difficile que l'on puisse organiser une cérémonie de confirmation pour un bébé mort né (et déjà inhumé depuis quelques temps )
Il est possible que le rédacteur de l'Acte se soit un peu mélangé les pinceaux ,et que ce soit Perrine 0 en 1707 qui ait effectué sa confirmation (de baptême) à l'age de 10 ans,un age tout à fait normal à l'époque et peut être avec le prénom d'Anne Perrine.
Depuis le Moyen Age, la confirmation est donnée à des âges variables : entre 7 ans (au XVe siècle) et 13-14 ans. Il n’y a pas d’âge précis pour recevoir la confirmation ; les adultes peuvent aussi la recevoir.
Durant les premiers siècles, le baptême et la confirmation ne formaient qu'une seule célébration lors de la veillée pascale. Au fil du temps, le christianisme, dans ses époques primitives, qui était initialement un phénomène urbain, s'est progressivement répandu dans les campagnes. Par conséquent, les évêques ne pouvaient plus célébrer toutes les messes de Pâques ni baptiser tous les catéchumènes qui étaient devenus trop nombreux et se trouvaient à des endroits trop éloignés. Par ailleurs, la mortalité infantile élevée poussait les gens à baptiser leurs enfants tôt et à n'importe quel moment de l'année. Il s'est alors posé une question essentielle pour le sacrement du Baptême : devait-on continuer à baptiser en donnant les deux onctions baptismales à la fois et renoncer au lien avec l'évêque qui, traditionnellement, faisait la deuxième onction ? Ou bien fallait-il que l'évêque continue à donner ladite deuxième onction et que l'unique sacrement devienne deux sacrements complémentaires ?
L'Église catholique d'Occident pratique aujourd'hui la deuxième solution. Au profit du lien avec l'évêque, les deux onctions baptismales sont donnés à deux moments différents : l'une au baptême par le prêtre, l'autre souvent plusieurs années après à la confirmation par l'évêque.
Le sacrement de la confirmation est ordinairement donné par l'évêque ou, dans le cas où cela n'est pas possible, par un prêtre délégué par l'évêque. Après avoir étendu les mains sur les confirmands (ceux qui vont recevoir la confirmation), l'évêque (ou le prêtre) les oint du Saint-Chrême. Il énonce les paroles : « Sois marqué de l'Esprit-Saint, le don de Dieu ».
Comme pour le baptême, un parrain ou une marraine accompagne dans la mesure du possible celui qui reçoit la confirmation. Il n'est pas obligatoire que ce soit la même personne que pour le baptême.
Je suppose que le 30 juin 1717 ,que l’évêque ne s'est pas déplacé à GUIPAVAS que pour la confirmation d'Anne Perrine ,d'autres enfants de sa génération ont du faire aussi leurs confirmations.
Avez vous Jean Yves un PN de cet Acte BMS ?
Salutations cordiales
Christophe Payet
Modifié en dernier par chris34 le 26/04/2014 9:33, modifié 2 fois.
Christophe Payet CGF10720
Bonjour,
On sait encore peu de choses sur la pratique du sacrement de confirmation aux 17e et 18e siècles, notamment sur le nombre des participants, leur identité (sexe, âge, milieu social) et sur son caractère généralisé ou exceptionnel. On sait par contre que le sacrement était conféré par l'évêque au cours de ses tournées dans le diocèse (dont la fréquence était plus ou moins forte selon les choix de l'évêque du lieu).
La confirmation était le seul moment où l'on pouvait changer de nom de baptême, soit parce qu'il y avait eu une erreur à la naissance (un garçon pris pour une fille ou inversement), soit parce qu'il y avait une demande du confirmé en ce sens (ou de sa famille s'il était enfant), soit par décision de l'évêque (parfois à la demande du clergé local) si le nom ne convenait pas.
Cette dernière faculté a été très souvent appliquée dans les années 1640-1660, voire dans les décennies suivantes, lorsque la décision a été prise d'éradiquer les noms profanes (cad ceux pour lesquels il n'y avait pas de saint ou sainte homonyme).
En cas de changement de nom, le nouveau devait être inscrit sur les registres de baptême et c'est la raison pour laquelle on ne trouve dans les registres de Guipavas de 1717 que ce seul cas d'Anne Perrine, quand bien même il y a eu une cérémonie collective. Dans les cas que j'ai pu observer jusqu'à présent, les participants dont le nom est changé sont majoritairement des jeunes filles ou jeunes femmes (de 10 à 25 ans) mais j'ignore encore si cela correspond exactement au profil des confirmés dans leur ensemble.
Dans le cas qui vous occupe, la jeune fille avait reçu le nom de sa marraine au baptême (Perrine Gueirois, bourgeoise de Brest, acte consultable à la page 356/566 des registres de la paroisse). Les féminisations de noms de saints étaient mal vues à l'époque car elles ne permettaient pas aux filles d'avoir un véritable modèle d'identification de leur sexe. Si le changement a été à l'initiative de l'évêque, on doit sans doute avoir d'autres cas similaires dans la paroisse ou dans le diocèse à la même époque. Compte tenu de l'année de la confirmation (1717), bien après les changements massifs des années 1640-1660, je pense plutôt que le changement a été demandé par la famille, afin de marquer sa dévotion envers sainte Anne.
Bien cordialement,
Pierre Yves Quéméner
On sait encore peu de choses sur la pratique du sacrement de confirmation aux 17e et 18e siècles, notamment sur le nombre des participants, leur identité (sexe, âge, milieu social) et sur son caractère généralisé ou exceptionnel. On sait par contre que le sacrement était conféré par l'évêque au cours de ses tournées dans le diocèse (dont la fréquence était plus ou moins forte selon les choix de l'évêque du lieu).
La confirmation était le seul moment où l'on pouvait changer de nom de baptême, soit parce qu'il y avait eu une erreur à la naissance (un garçon pris pour une fille ou inversement), soit parce qu'il y avait une demande du confirmé en ce sens (ou de sa famille s'il était enfant), soit par décision de l'évêque (parfois à la demande du clergé local) si le nom ne convenait pas.
Cette dernière faculté a été très souvent appliquée dans les années 1640-1660, voire dans les décennies suivantes, lorsque la décision a été prise d'éradiquer les noms profanes (cad ceux pour lesquels il n'y avait pas de saint ou sainte homonyme).
En cas de changement de nom, le nouveau devait être inscrit sur les registres de baptême et c'est la raison pour laquelle on ne trouve dans les registres de Guipavas de 1717 que ce seul cas d'Anne Perrine, quand bien même il y a eu une cérémonie collective. Dans les cas que j'ai pu observer jusqu'à présent, les participants dont le nom est changé sont majoritairement des jeunes filles ou jeunes femmes (de 10 à 25 ans) mais j'ignore encore si cela correspond exactement au profil des confirmés dans leur ensemble.
Dans le cas qui vous occupe, la jeune fille avait reçu le nom de sa marraine au baptême (Perrine Gueirois, bourgeoise de Brest, acte consultable à la page 356/566 des registres de la paroisse). Les féminisations de noms de saints étaient mal vues à l'époque car elles ne permettaient pas aux filles d'avoir un véritable modèle d'identification de leur sexe. Si le changement a été à l'initiative de l'évêque, on doit sans doute avoir d'autres cas similaires dans la paroisse ou dans le diocèse à la même époque. Compte tenu de l'année de la confirmation (1717), bien après les changements massifs des années 1640-1660, je pense plutôt que le changement a été demandé par la famille, afin de marquer sa dévotion envers sainte Anne.
Bien cordialement,
Pierre Yves Quéméner
- Philippe LEONI
- Photographe
- Messages : 1629
- Enregistré le : 03/12/2006 20:37
- Localisation : (29) Plougastel-Daoulas
-
- Messages : 106
- Enregistré le : 17/11/2009 12:46
- Localisation : (54) Toul
Nomination à la confirmation
Bonjour,
Nous n'avons pas de renseignements concernant Anne Perrine CLOAREC mais nous avons trouvé aux A.D. de Quimper - Commune de LOGONNA-DAOULAS un cas semblable concernant un de nos ascendants.
Son prénom - Gilles - à la naissance a été changé en Charles lors de sa confirmation.
Voici le texte : Gilles fils naturel et légitime de Charles HERROU et de Marie BEGUEC a été né le 9è jour de juin et baptisé le 10 de l'an 1691 par Messire Jacques GUERMEUR et fut nommé Gilles par Gilles son grand père et Marguerite HERROU fut sa marraine mais ayant eu derro..? en recevant le sacrement de confirmation dans l'église de FAOU le premier jour de décembre 1708 le Seigneur Evêque de Quimper changea le nom de Gilles en celui de Charles ce que je certifie véritable.
Sur l'acte de naissance le prénom Charles a été écrit au dessus de celui de Gilles. A noter que son parrain était Gilles Beguec son grand père maternel.
Nous n'avons pas de renseignements sur le pourquoi de ce changement de prénom. Le décès de son père Charles en 1705 pourrait être l'explication mais rien ne le confirme.
Celà n'amène rien par rapport à Anne Perrine. Celà confirme seulement que le changement de prénom pouvait se faire lors de confirmation.
Bien cordialement à tous.
Nous n'avons pas de renseignements concernant Anne Perrine CLOAREC mais nous avons trouvé aux A.D. de Quimper - Commune de LOGONNA-DAOULAS un cas semblable concernant un de nos ascendants.
Son prénom - Gilles - à la naissance a été changé en Charles lors de sa confirmation.
Voici le texte : Gilles fils naturel et légitime de Charles HERROU et de Marie BEGUEC a été né le 9è jour de juin et baptisé le 10 de l'an 1691 par Messire Jacques GUERMEUR et fut nommé Gilles par Gilles son grand père et Marguerite HERROU fut sa marraine mais ayant eu derro..? en recevant le sacrement de confirmation dans l'église de FAOU le premier jour de décembre 1708 le Seigneur Evêque de Quimper changea le nom de Gilles en celui de Charles ce que je certifie véritable.
Sur l'acte de naissance le prénom Charles a été écrit au dessus de celui de Gilles. A noter que son parrain était Gilles Beguec son grand père maternel.
Nous n'avons pas de renseignements sur le pourquoi de ce changement de prénom. Le décès de son père Charles en 1705 pourrait être l'explication mais rien ne le confirme.
Celà n'amène rien par rapport à Anne Perrine. Celà confirme seulement que le changement de prénom pouvait se faire lors de confirmation.
Bien cordialement à tous.
Herrou Hyacinthe CGF12411
Herrou Jacqueline CGF12412
Herrou Jacqueline CGF12412
- Jean-Yves KERBOUL
- Messages : 47
- Enregistré le : 10/02/2007 20:40
- Localisation : (29) Brest
Bonsoir,
Je vous remercie pour ces précieux renseignements qui m'ont été très utiles.
Il s'agit effectivement d'un changement de prénom au moment de la confirmation.
Dans l'ignorance de cet évènement, j'avais attribué à tort le mariage et le décès d'Anne (Alias Perrine) à sa soeur Anne née le 4 septembre 1695.
On trouve donc :
le 4 septembre 1695, naissance d'Anne ;
le 8 janvier 1710, décès d'Anne (DC non détecté avant cette discussion) ;
le 16 septembre 1707, naissance de Perrine CLOAREC;
le 30 juin 1717, confirmation de Perrine qui se prénomme désormais Anne ;
le 24 octobre 1724, mariage Sébastien CADOUR/Anne CLOAREC (Acte de mariage indique qu'elle est "émancipée de justice") (son père est DCD le 2 septembre 1724) ;
le 1er octobre 1734, décès à Landerneau Saint Houardon d'Anne CLOAREC, à l'âge de 27 ans (conjoint Sébastien CADOUR).
Le mystère restera quand à la raison de ce changement de prénom, mémoire de la soeur défunte ou prénom plus en rapport avec leur conviction religieuse.
La famille du couple CLOAREC/CHOPIN devait être proche du clergé de Guipavas, car son frère Yves est dit "enseigne de la paroisse" lors de son mariage avec Marie CALVEZ, le 1er février 1717.
Je vous remercie pour ces précieux renseignements qui m'ont été très utiles.
Il s'agit effectivement d'un changement de prénom au moment de la confirmation.
Dans l'ignorance de cet évènement, j'avais attribué à tort le mariage et le décès d'Anne (Alias Perrine) à sa soeur Anne née le 4 septembre 1695.
On trouve donc :
le 4 septembre 1695, naissance d'Anne ;
le 8 janvier 1710, décès d'Anne (DC non détecté avant cette discussion) ;
le 16 septembre 1707, naissance de Perrine CLOAREC;
le 30 juin 1717, confirmation de Perrine qui se prénomme désormais Anne ;
le 24 octobre 1724, mariage Sébastien CADOUR/Anne CLOAREC (Acte de mariage indique qu'elle est "émancipée de justice") (son père est DCD le 2 septembre 1724) ;
le 1er octobre 1734, décès à Landerneau Saint Houardon d'Anne CLOAREC, à l'âge de 27 ans (conjoint Sébastien CADOUR).
Le mystère restera quand à la raison de ce changement de prénom, mémoire de la soeur défunte ou prénom plus en rapport avec leur conviction religieuse.
La famille du couple CLOAREC/CHOPIN devait être proche du clergé de Guipavas, car son frère Yves est dit "enseigne de la paroisse" lors de son mariage avec Marie CALVEZ, le 1er février 1717.
Cordialement
Jean-Yves KERBOUL
CGF 11118B
Jean-Yves KERBOUL
CGF 11118B

Bonsoir Jean Yves ,
Je vous cite :
La famille du couple CLOAREC/CHOPIN devait être proche du clergé de Guipavas, car son frère Yves est dit "enseigne de la paroisse" lors de son mariage avec Marie CALVEZ, le 1er février 1717.
A propos d'"enseigne de la paroisse" ,une file dans le Forum qui traite du sujet :
http://www.cgf-forum.fr/phpBB2/viewtopi ... d8a82827cc
Yves NICOT nous dit :
M'étant renseigné au local du CGF voilà 2 ou 3ans,on m'avait
laissé entendre qu'il s'agissait un peu de la fonction précédent le garde-champêtre,c'est à dire celui qui criait les nouvelles à la sortie des offices religieux (celui qui enseigne)!
Donc un enseigne de paroisse n'était pas nécessairement proche du clergé ,il fallait surtout avoir une bonne voix

Cordialement
Christophe Payet CGF10720
- framevellec (†)
- Messages : 3378
- Enregistré le : 17/07/2008 10:04
- Localisation : (85) Les Herbiers
Bonjour Christophe et tou(te)s,
Celui que l'on appelait aussi "Tambour" :
Il précédait toujours ses "annonces", d'un roulement de tambour ...
Le "garde-champètre" (aujourd'hui appelé "policier municipal"), avait (lui) pour vocation d'apporter les convocations et différents courrier administratifs, chez l'habitant ...
Parfois la même personne avait la double "casquette" ...
Bien cordialement,
François.
Celui que l'on appelait aussi "Tambour" :
Il précédait toujours ses "annonces", d'un roulement de tambour ...
Le "garde-champètre" (aujourd'hui appelé "policier municipal"), avait (lui) pour vocation d'apporter les convocations et différents courrier administratifs, chez l'habitant ...
Parfois la même personne avait la double "casquette" ...
Bien cordialement,
François.
Francois MEVELLEC,
Né à CORAY, nombreux ascendants sur ELLIANT, TOURCH, LANGOLEN, TREGOUREZ, EDERN, BRIEC, PLOGONNEC, LAZ & SAINT GOAZEC.
CGF 07912 (Antenne de Quimper)
CG22 3962
Site : http://www.fazery.net
Né à CORAY, nombreux ascendants sur ELLIANT, TOURCH, LANGOLEN, TREGOUREZ, EDERN, BRIEC, PLOGONNEC, LAZ & SAINT GOAZEC.
CGF 07912 (Antenne de Quimper)
CG22 3962
Site : http://www.fazery.net