Bonjour,
Je confirme.
Il ne faut pas oublier que dans la tradition chrétienne le parrain et la marraine se substitue aux parents quand ceux-ci décèdent.
Il peut donc être avantageux de réussir à obtenir des parrains/marraines aisés.
J'ai un cas dans la famille où la filleule a été recueillie par le parrain après le décès des parents.
Cordialement

Bonjour,
A propos des Paul (patronyme relativement rare dans notre contrée), ils sont effectivement de la zone de Gourin/Scaër/Rosporden.
J'ai retrouvé toutes les personnes citées précédemment Apolline Paul en particulier et je confirme l'ensemble sur les Guillou de Laz mais il est prudent de ne pas trop "déraper" là-dedans sous peine de ne plus du tout s'en sortir
Sinon, vous allez voir défiler les Auffret, Houssin, Morice, Guyet, Lohéac, Laennec, Changeon, Marchand, Kerret, Kerguern, Staguer du sud du département et nous serons repartis pour dix pages de discussion.
Une précision, nous sommes dans le milieu des notaires/procureurs avec quelques incursions dans la petite noblesse bretonne.
La connexion est très intéressante parce que nous passons du centre du département au sud (et elle me permet de combler des "trous" de mes arbres).
A suivre,

Bonjour
Très rapidement, sur Kergoniou,
http://www.infobretagne.com/lennon.htm
je cite un extrait :
"Par ailleurs, un aveu d'Ignace Furic, passé en 1663, nous a déjà révélé que les Jouhan, ses ancêtres maternels, avaient hérité Kerézec d'Anne de Kersulguen, héritière de « Louis de Kersulguen, son aîné, seigneur de Kergoniou, héritier de Jean de Kergoniou... » Celui-ci doit être un Kerdreffec. En 1608, Kergoniou passe dans la famille de La Sauldraye, par le mariage de Guillaume de La Sauldraye avec Julienne de Poulmar, comme en fait foi la déclaration, faite en 1678 par Jacques de La Sauldraye. Il possède notamment « le lieu du Penguer, joignant les autres terres ci-dessus et profité par le dit sieur advouant sous Messire Jullien Poulmarch, prebstre diacre (sic), pour lui en payer par an la quatrième gerbe de bled que l'on y gagnera, réduit et arrêté entre partyes à trente livres par an... Tous lesquels héritages, ajoute-t-il, despendant, comme dit est, tant dudit manoir que dudit lieu de Penguer (Kergoniou), s'entrejoignent... et sont advenus audit sieur de Kergoniou par retrait lignagier du quatorzième et quinzième octobre mil six cents cinquante et cinq, par luy faict de deffunct noble homme Ignace Furic, sieur de Kergorant, acquéreur indivis desdits héritages saisis et vendus sur deffuncte damoiselle Julienne Poulmarc'h, mère dudit sieur advouant » (Archives nationales P 1555, f. 311)."
La référence ressemble à celle de la réformation AN P1555 folio 311.
A suivre,

Bonjour,
Ah, la fameuse série B des AD44 dans laquelle j'ai déniché tant de trésors
Je vais regarder quand j'aurais un moment dans l'inventaire tout ce qui concerne Saint Coulitz et la zone autour s'il y a des Riou, Poulmarc'h, Quintin.
Cordialement

Bonsoir,
Cela commence a être assez complet au niveau des familles quintin et alliees.
La structure familiale n'est pas des plus aisee et la porosite des paroisses alentour n'arrange rien (Briec, saint coulitz, edern).
Merci pour tous les echanges en tout cas. Cela consolide les connaissances familiales.
Cordialement

Bonsoir,

Marc Le GOFF est effectivement cité

Document du 22 décembre 1601,
"soubs Damoiselle JANNE LE GOFF Dame DE PENANMENEZ héritère principalle et noble à deffunct Escuier MARC LE GOFF en son vivant Sieur DE PENANMENEZ, scavoir ledit lieu de La Villeneuffve o ses yssues"

qui nous permet de savoir que Janne LE GOFF hérite du fameux Marc mais aucun élément ne permettant de trancher entre père, frère ou oncle.
La base de la Noblesse Bretonne est plus fiable que ROGLO qui est parfois hasardeuse sur les sources.

Pour Basile Quiniou, fille d'Yves et de Marguerite ALLAIN. C'est effectivement son baptême qui est la source et que je n'ai toujours pas réussi à consulter directement.

A suivre,

Bonjour,

Tous font partie de la même grande famille.
J'ai pour ma part (et un grand nombre de personnes) une double ascendance dans cette famille qui regroupe des Quiniou, Quéré, Dethey, Demeure, Mocaër, Guennolay, Lharidon, Quintin, Blaise, etc...
Il faudrait construire un arbre spécifique, établi à partir des aveux, tutelles étudiées pour comprendre le mouvement des terres dans cette famille très élargie. J'ai déjà eu le problème avec les Auffret de Quimperlé et c'est la seule solution pour ne rien rater (et encore ).

Sur la connexion avec les montres (famille le Goff), j'ai l'impression que les appelations sieur/dame/demoiselle apparaissent avec la francisation des actes. Auparavant, les nobles sont indiqués très souvent par l'appelation 'dominus temporalis' et 'domina/domicella'.
A la bascule en français, certaines honorables personnes osent utiliser le nom d'une terre acquise en l'ajoutant de manière frauduleuse à leur nom de famille.
Cette pratique a l'air de se multiplier tout au long du 17ème (juste au moment où Louis XIV enclenche la réformation) avec parfois des origines légitimes parfois pas du tout.
Le pouvoir en profite parfois pour coller quelques amendes d'un montant significatif (il ne faut oublier que le droit d'utilisation d'Armes (au sens blason) n'est pas gratuit, l'innovation fiscale n'est pas du tout récente en France et n'a été apportée par la république).
Il faudrait donc à partir de la montre identifiant les Le Goff en déduire la seigneurie possédée et réussir à trouver un lien de transmission de la terre (qui peut totalement être colatéral, j'ai un brillant exemple dans mon ascendance extrait de l'Armorial de Lannion).
Je vais regarder de plus près les Goff de Pennanmenez mais tout semble avoir été dit sur le sujet.

Cordialement

Bonjour,
Il ne reste plus qu'à fouiller les origines des terres sur le domaine de Quimerc'h (pas simple).
Pour le reste, toutes les personnes citées sont bien de la même famille élargie qui habitent entre Kerjean, Laeron et Bastil.
Cordialement

Bonjour,
Vous êtes en train de rentrer dans le maquis des familles chateaulinoises.
Les Quiniou, Blaise, Quéré, etc...
Il n'est pas simple de déméler le sujet d'autant qu'une partie (grande) des actes ne sont pas disponibles en ligne.
Il est donc parfois difficile de se faire une idée réelle.
Les papiers terriers aident néanmoins grandement dans la compréhension des structures familiales qui tournent autour des terres possédées.
Il faut donc prêter une grande attention aux villages de naissance quand ils sont précisés, aux parrains et marraines ainsi qu'aux signatures des actes quand il y en a.
Cordialement

Bonjour,
Pour éviter les méprises, dans le cas de conseil de famille pour décision de tutuelle et/ou d'émancipation,
je construis un petit arbre de la famille concernée.
Cela permet très facilement de placer toutes les personnes avec leur degré de parenté et très souvent de rapidement éclairer la situation.
C'est comme cela que j'ai débrouillé la tutelle d'Hélène de Kerverder me permettant de franchir plusieurs étages supplémentaires de ma généalogie (entre 1600 et 1550).
Cette technique a été fabuleuse sur la famille Auffret de Quimperlé (qui est un jeu de piste géant à elle toute seule).
J'avais alors à ma disposition une dizaine de tutelles et aussi des aveux de propriétés indiquand chacun des petits morceaux de famille.
Cordialement
ps = Il arrive de se tromper totalement ou de n'avoir confirmation d'une hypothèse qu'en consultant des actes parfois improbables.

Bonjour,

Nous sommes loin d'avoir ratissé toutes les archives
et des informations clés peuvent se cacher partout y compris dans les archives
et les endroits les plus improbables
J'ai bien trouvé un contrat de mariage au fin fond des archives de l'évéché de Saint Brieuc.

Cordialement

Bonsoir,

Il est quand même étonnant de "tenter une relation familiale" avec une famille déchue mais qui avait réussi à se refaire très rapidement.
Alors Foucquet ou bien Fouquet ?

Bonne année à toutes et tous,

Bonjour,

J'ai fait quelques trouvailles supplémentaires sur les Foucquet mais je ne suis pas sûr que cela améliore la lisibilité de la famille.
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... r=FOUCQUET
Tout sur les Foucquet d'Anjou et de Bretagne (Bouchefolière).

et aussi :
"Certains actes ou annotations du premler registre de baptêmes, commencé le 4 janvier 1593, méritent d'être relevés Le baptême de Marie, fille de noble et illustre Jean Calloët et de demoiselle Françoise Jégou, seigneur et dame de Kervéguen, que tinrent sur les fonts sacrés, le 29 juillet 1607. Messire Alain du Poulpry, seigneur dudit lieu, Mesguen Lavengat, et demoiselle Marie Jégou, dame de Porzgadiou, s'y trouve longuement consigné en termes pompeux par Maistre Nicolas Fouquet, chapelain, qui avait une superbe écriture et devait être un latiniste distingué. Ce vénérable prêtre, fils de Hervé Fouquet, écuyer, seigneur de Kervézec (en Carantec) maire de Morlaix en 1576, et de Marie Balavesne. avait consacré son existence entière à la paroisse, car on l'y rencontre depuis 1598 jusqu'au 31 dé-cembre 1652, date do son décès. Le 5 mai 1614, il baptisa Richard Guillouzou, fils de noble homme Pierre Guillouzou, sieur du Plessix, et de Suzanne de Kermerc'hou"

A suivre,

Bonjour,
Ayant une branche familiale de Lothey, tous les noms cités me parlent.
Tout cela est très cohérent.
Le Jean Dougredroit maréchal, présent aux deux naissances des fils est possiblement le frère de Francois.
Il pourrait même être possible d'identifier le pere de guillaume en recoupant les recensements et les apparences physiques via le registre militaire.
A suivre

Bonsoir,
Vous commencez a rentrer dans la zone de mes "cousins", les pastour, kerduel et probablement kerverder (au lieu de keverder).
Je regarderai ce que j'ai en "stock"
Cordialement