Bonjour,
N'hesitez pas a corriger/completer les releves. J'ai indexe les registres mais il est probable qu'il y ait des erreurs et/ou que les releves omettent certains noms de personnes et de village.
Cordialement

Bonjour,
François Nicolas est un cas étrange.
Il se marie au Canada en 1899. Il est dit natif de Scaër mais on ne retrouve rien de cohérent dans les tables décennales (et les registres militaires) qui correspond. Est ce que quelqu'un a réussi à trouver la date de naissance de François ? cela pourrait permettre de remonter à sa fiche matricule où son immigration doit être indiquée en toute logique.
Du côté de sa femme, Sara Deneau, c'est un peu mieux. Elle est née en 1877. Ces parents sont bien identifiés (le père se nomme en fait Edouard Casimir). Elle a plusieurs frères et soeurs.
C'est donc un cas non simple...
Cordialement

Bonjour,
Effectivement,
Jeanne est la soeur de Jacques et de Jean et apparait avec son mari, Ollivier Queffelec sur les aveux de Châteaulin (Lospars et Run ar Puns).
Les dates correspondent bien.
Sébastien apparait aussi en 1663.
Le dernier couple, Nicollas Le Garo et Margueritte Ollier est également de la partie mais il est possible qu'ils soient un peu agés pour être des frères et soeurs des autres (Margueritte décède en 1648 et son mari en 1665).
Tout cela est très cohérent pour les enfants de Jan et de Marie Le Paige.
Ollivier Queffelec signe et Jean Ollier (le prêtre aussi mais c'est logique puisqu'il est prêtre).
A suivre...
Nous sommes dans les origines des fermes aux alentours de Châteaulin, Pennaros, Lospars, Run Ar Puns. Les mariages se succédent et les relations ne sont pas simples entre les différentes familles de ménagers.
Cordialement

Bonjour,

Bienvenue dans le clan des Ollier de Châteaulin,

Soyez conscient que les parents d'une personne décédée en 1629 sont souvent très compliqués à trouver.

Catherine est donc marraine de Daniel fils de Jean Ollier et de Marie Le Paige.
Pour le moment, je n'avais identifié que deux enfants pour le couple en question :
Jacques né en 1618, marié à Louise Guidal, domicilié à Run Ar Puns (Châteaulin).
et Jean, prêtre, vicaire de Châteaulin, Pleyben puis Saint Ségal jusqu'en 1693.
Il faudrait donc y ajouter Daniel né en 1632.

La relation avec les "jacques Ollier" le jeune et le vieux, notaires royaux est plus ou moins établie (mais non certaine).
Il faut donc chercher dans ces personnes pour essayer de monter une hypothèse qui puisse "tenir la route".
Avez vous des détails sur les villages d'habitation ? Cela peut être précieux pour constituer des familles et alliances.

Cordialement

Bonjour,
Vous pouvez tenter l'entraide genealogique sur Paris.
Cela fonctionne pour le SHD de Vincennes.
Cordialement

Bonjour,

La fiche militaire risque d'être très intéressante (elle va retracer la carrière d'Yves Peuziat).

Commencement de son parcours,
Le 24 août 1937, Yves Peuziat est Maréchal des Logis au 355eme RAA, 1ère Batterie (il est reçu à un examen de natation de 50m départ plongé) Source = L'Ouest Eclair, édition de Nantes.
RAA est un synonyme de RALP (Artillerie Lourde Portée, eg avec des tracteurs). Le Régiment est basé à Nantes (44).
Historique de la drôle de guerre et de la Campagne de France (mai 1940), du 355eme RALP,
Le 355e est au SF Thionville jusqu'au 22 octobre 1939, puis il est placé en réserve d'armée à Mailly du 24 octobre 1939 au 11 mai 1940.
Il sera ensuite affecté au 11e CA : Ier et IIe groupes détruits le 13 mai ; IIIe groupe très éprouvé.
Il est vraisemblable qu'Yves Peuziat (passé adjudant entre temps) est fait prisonnier vers le 13 mai 1940.

On retrouve également la trace du mariage de Yves Peuziat avec une publication de mariage datée du 20 février 1940 dans la Dépêche de Brest (Quartier Lambézellec).
Yves est alors annoncé comme Maréchal des Logis (Sergent), Yvonne Caër est sans profession, habitant Bois des Sapins.

Yves Peuziat né le 21 janvier 1916 à Audierne, est inscrit sur une liste de prisonniers datée du 24 mars 1941.
Il est adjudant au 11ème PAD. Interné au Stalag VI C (sauf s'il y a méprise mais j'en doute).
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k ... IAT.f52.hl

Il reste donc à solliciter le CICR pour avoir des renseignements sur la période de captivité.
tracing.archives@icrc.org (Les délais sont longs mais les informations apportées très importantes).
En parallèle, Le SHD de Caen (BAVCC) peut apporter des renseignements précieux.
Enfin, l'ITS de Bald Arolsen peut aussi être une source (https://www.its-arolsen.org/fr/).

Il est probable qu'Yves Peuziat se soit évadé d'Allemagne (ce qui est déjà remarquable), soit pendant le transfert, soit après.
On perd sa trace en mars 1941 et il "réapparait" en 1943 à Toulouse dans un groupe de contre-espionnage militaire très organisé ayant des entrées côté Vichy.

Cordialement

Bonjour,
Deux sources restent très importante à consulter,
Le registre militaire de Brest, année 1936.
Yves Peuziat est enregistré sous le numéro 1040.
Les registres ne sont pas en ligne.
Les archives des résistants (GR 16 P) dont l'inventaire est normalement accessible en ligne (le site du SHD est encore en panne).
Les dossiers sont consultables sur place à Vincennes (94).
Dans ce dossier, vous pouvez trouver des trésors (ce fut le cas pour un de mes grands oncles).
Cordialement

Bonjour,
L'erreur de transcription est aussi possible.
Cela m'est arrivé pour la femme d'un grand oncle. La mairie de son lieu de naissance s'est juste trompé de personne (la seconde avait le même nom, le même prénom et était née le même jour).
Cordialement

Bonjour,
Si vous desirez une photo de l'acte, vous pouvez faire appel a l'entraide genealogique.
Un tiers se rendra aux AD pour realiser la photo pour vous.
C'est assez efficace.

Bonjour,
Il s' agit d'aveux de la zone du Leon. Il est possible que cela soit une variante locale de la vieille coutume.
Je sais que les regles de metayage etaient differentes selon la zone.
Cordialement

Bonjour,
Cette expression d'aveux ne me dit rien. Je ne l'ai jamais rencontree.
Avez vous un exemple pour que cela soit plus explicite ?
Merci

Bonjour,

J'exhume ce post un peu ancien pour le remettre sur "la table".

J'ai à peu près identifié les ancêtres de Sylvestre Nicollas, Notaire Royal à Landudal.
Il s'agit de David Michel Nicollas et d'Anne Rose Auffret (il me manque une confirmation qui est le baptême du frère de Sylvestre, Pierre).
Les parents d'Anne Rose sont (seraient) Maurice Auffret (maitre) et Renée Houssin (les prénoms des enfants du couple Nicollas/Auffret sont trop proches de ceux de la famille pour que cela soit une coincidence.
En mettant bout à bout toutes les informations disponibles dans les différentes dispenses de mariage et d'émancipation trouvées et indexées, ainsi que les actes de baptêmes des frères et soeurs d'Anne Rose, je me suis aperçu qu'Anne Rose Auffret était parente à Sylvestre Le Roy et aussi Vincent (Guillaume) Laënnec, les Nerzic. Un René Changeon prêtre de son état ainsi que Maurice Guyet apparaissent aussi dans les parents !!
La suite logique a été de s'intéresser à François Houssin (celui décédé en 1688 et marié à René Paul) qui a eu un seul fils Julien orphelin à quatre ans.
Elle a permis de confirmer que des liens familiaux existent entre les familles Houssin/Changeon/Bossu/Nerzic/Le Roy (ce qui est largement confirmé par la présence de tous aux naissances de la famille Nicollas/Auffret. Il semble donc que Renée Houssin, femme de Maurice Auffret soit parente à François Houssin mais à Renée Houssin femme de Guillaume Changeon).
Le milieu est assurément celui des Notaires Royaux de la zone entre Bannalec, Quimperlé mais aussi Gourin (l'orphelin de quatre ans se marie à Gourin avec la fille d'un Notaire Royal).

Des idées pour compléter et éclairer le tableau ?

Bonjour,
J'ai l'impression que la clé de la filiation David Michel Nicollas, Sylvestre Nicollas se trouve dans l'acte de mariage du frère de Sylvestre, Pierre Nicollas, sieur de Keridreux, qui s'est marié avec Anne Olive Marie Jehan (orthographe différente sur RECIF, SCEHAN), veuve de Guillaume Joseph Le Flochlay.
Le mariage a lieu le 26 novembre 1727 à Landudal.
Les deux précités ont également eu un frère, Jean Marie Nicollas, décédé entre 1701 et 1725.
La transcription des deux actes "verrouillerait" vraisemblablement les suppositions faites jusqu'à maintenant sur l'ascendance Nicolas.
Cordialement

Bonjour,
J'ai croise des clevede dans mes recheches sur les auffret/nicolas.
Catherine est la tante de jeanne corentine mariee avec yves julien nicollas, fils de francois et frere de david michel nicollas (le mari d'anne francoise).
Les clevede ont aussi laisse des traces du cote de bannalec.
Cordialement

Bonjour,
Merci pour les renseignements,
Le nom Proffit n'est pas du tout breton, je confirme.
Ce fameux jean pierre proffit partage un grand pere, rene proffit, sieur de la porte taron, alloue de Plouvara, avec une de mes ancetres, marie Lymon (de la famille Lymon de Quintin). Au passage, je remercie yannick chassin du guerny pour la confirmation du mariage, Lymon/Proffit.
La famille Proffit vient tres certainement de Paris.
Je soupconne le grand pere commun qui se nomme rene Proffit d'etre un cousin d'un autre Proffit, marie a catherine le merdy et qui est a l'origine de l'alliance Proffit/Le Merdy qui a produit la famille Proffit de catuelan.
Les racines parisiennes prennent racines dans les fonctions administratives royales comme le grand conseil du Roi.
Les archives notariales de Paris sont assez fournies sur le domaine.
Cordialement
Yvan calloc'h