bonsoir,
Le darbareur, était un manoeuvre chargé de mouiller l'argile, de la remuer et servir le maçon pour lier les pierres lors de construction ou de rénovation de bâtiments. Peut-être, devait-il en plus se déplacer avec un attelage, pour chercher ce liant dans une carrière sise en zone fangieuse appelée souvent poulpry ou traon-zilit, si le liant était siliceux.

Bloavezh mad
peut être bsur le cadastre napoléonien, en recherchant sur la matrice cadastrale

Bonjour
effectivement, Tymeur est un village disparu de Riec sur Belon. Il est recensé en 1536 dans un document concernant la noblesse bretonne. On le retrouve en 1625 sous la forme Timeur
Je pense qu'il n'a rien de commun avec Tremor, (Treff Mor en 1426), où l'on trouve une chapelle; et qui était aussi un lieu noble.

bonjour et Bloavezh mad.
Je pense que le noble en question est un descendant de la famille de Ty-Meur en Poullaouen. Reste à savoir où il résidait (ou non) dans la paroisse de Riec. Parmi les nobles de cette période sur Riec, on trouve (entre autre) des nobles héritiers de Kerjean en Saint Vougay. Ils pouvaient porter un titre, et détenir des terres sans habiter nécessairement sur la paroisse.

Bloavezh mad deoc'h

sur le cadastre ancien (1830, on voit un chemin descendre en cul de sac à proximité de Penfont. De l'autre côté du méandre, on a la parcelle 824, au bout de laquelle redémarre un chemin ancien. Ces deux chemins devaient se rejoindre en un temps reculé. On peut déduire que Pont an Dol avait disparu bien longtemps avant la création du cadastre dit napoléonien.
Bonne journée et bonnes fêtes.

bonsoir à tous,
je prends connaissance avec un peu de retard. Pont an dol devait se trouver dans un méandre (dol) de la rivière, alors que sur la carte, le pont se situe sur une partie droite. Je pense qu'un ancien chemin était desservi par le vieux pont et que le pont que vous évoquez desserve une voie plus récente.
Noz vad

noz vad hag nedeleg laouen

bonjour Jean Louis.
La forme Kozh + Tess par exemple (monceau, tas en vieux breton) semble improbable car ce serait une parcelle ainsi identifiée avant l'an mil. Par contre , Kostez = à côté de, proche, serait plausible. (Le champs proche de l'exploitation)

Bonjour,
Loc-Eguiner St Thégonnec est devenue commune en 1861. Auparavant, c'était une trève incluse dans la commune de Plounéour Ménez

Demat,
Jean Marie Ploneis a une autre version, à mes yeux, plus fiable. Pred provient du latin praedicare au sens de réflexion. A l'origine, ce nom désignait un philosopheur, un raisonneur, un orateur.

Bonsoir, Guillemine et Guillemette, sont des prénoms courants à l'époque et dérivent de Guillaume (germanique au sens de volontaire casqué)
Noz vad

on est dans la logique de la microtoponymie de Kompez Koad à St Thégonnec et Kergompez à Pleyber Christ. Reste à savoir si la pierre est dressée ou couchée. J'ai l'exemple d'une pierre volontairement couchée à Plounéour Menez, dans le bois de Koad losqued par les religieux (du Relecq?) pour empêcher les riverains, à une période reculée, peut-être le haut moyen Age de pratiquer la religion ancestrale. Jean Uguen, radiesthésiste, de par les ondes émise, a retrouvé le mégalithe et le trou de fondation de cette pierre. Il l'a fait relever, permettant ainsi de redresser des ondes négatives en ondes positives. C'était le rôle originel de ces pierres.
Noz vad

Bonsoir, je voulais savoir si ce nom était celui d'une masure, d'un village, ou d'un micro-toponyme (une parcelle).
Noz vad

Selon Le Gonidec, (je n'ai aucune autre source actuellement) Kompezennou ou kompoezennou proviennent de Kompeza, action d'aplanir, unir, polir et correspondrait à "plaines".
Pour menhir, il y a nuance. Menhir est la pierre longue, couchée ou debout. Le mégalithe ainsi nommé a été ainsi authentifié par La Tour d'Auvergne, mort en 1800 au cours des premières guerres napoléoniennes. L'ancien nom de cette pierre dressée est peulven.
On peut, sous réserve, dire que le lieu recherché, consiste en parcelles planes en un lieu où se trouve une pierre longue.
Demat