Bonjour,
Merci beaucoup pour cette réponse rapide
Cordialement
Michelle Castetbon
6 résultats trouvés
- 08/03/2016 9:07
- Forum : Familles
- Sujet : + Lucie HARIOU CHOU Plouégat-Guérand
- Réponses : 2
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- 07/03/2016 19:09
- Forum : Familles
- Sujet : + Lucie HARIOU CHOU Plouégat-Guérand
- Réponses : 2
- Vues : 1465
+ Lucie HARIOU CHOU Plouégat-Guérand
Bonjour,
J'habite la Gironde et j'aurais voulu savoir si sur les registres de naissance de cette commune, il y a une mention marginale (mariage, décès) sur les actes suivants: 7/3/1886 Harrioo Chou Lucie Augustine et 29/12/1889 Harrioo Chou Gertrude Pauline.
Ces actes ne sont pas encore en ligne sur le site des archives.
Si quelqu'un du Trégor pouvait me rendre ce service, ce serait vraiment formidable.
Avec mes remerciements.
Cordialement
Mme Castetbon
J'habite la Gironde et j'aurais voulu savoir si sur les registres de naissance de cette commune, il y a une mention marginale (mariage, décès) sur les actes suivants: 7/3/1886 Harrioo Chou Lucie Augustine et 29/12/1889 Harrioo Chou Gertrude Pauline.
Ces actes ne sont pas encore en ligne sur le site des archives.
Si quelqu'un du Trégor pouvait me rendre ce service, ce serait vraiment formidable.
Avec mes remerciements.
Cordialement
Mme Castetbon
- 28/11/2009 20:58
- Forum : Linguistique
- Sujet : mesure de surface : Centaines
- Réponses : 3
- Vues : 2788
- 16/01/2009 10:55
- Forum : Linguistique
- Sujet : Patronymes / HARRIOO, HARRIOU, HARRIOU-CHOU
- Réponses : 6
- Vues : 4426
Bonjour,
J'ai trouvé en 1675 sur les registres protestants d'Orthez, la naissance de Jeanne Harrioou de Pierre et Marie Lassalle. Le premier "o" porte un accent aigu ce qui veut dire qu'il se prononçait "o". (le "o" sans accent se prononçait "ou"). C'est une finale assez fréquente dans les patronymes et toponymes.Généralement on écrivait avec deux "o", le premier étant accentué. D'ailleurs il existe la commune de PUYOO qu'en béarnais on dit "Puyo-ou". Il n'est donc pas exclu que votre ancêtre soit d'origine béarnaise.
Vous ne dites pas à quelle époque vous l'avez trouvé. C'est important car à la fin du 18ème les protestants aisés se sont enfuis en Angleterre, Hollande, Allemagne , Suisse. D'autres béarnais migraient aussi pas mal en Espagne pour le commerce et le travail, et à St Domingue pour y cultiver le café comme planteurs ou employés de ces derniers...mais la Bretagne n'est jamais mentionnée comme étant une de leurs destinations. Un original peut-être... Par contre si c'est plus tard, c'est un peu moins improbable.
Quant à la signification, s'il n'y avait pas le "H" initial, on pourrait dire que c'est un dérivé de "arriu" = "ruisseau" ="rivière". Mais ce "H", très certainement aspiré, l'exclut. Il ne doit pas être mis par hasard.
Je ne me risquerai pas à d'autres hypothèses. La piste béarnaise est peut-être archi fausse. Mon épouse s'appelant "Guichaoua" certains la donnaient comme originaire du Maroc puisque là bas il y a la tribu des "Chichaoua". Or c'est pur breton.Vaut mieux être prudent!
Roger Castetbon
J'ai trouvé en 1675 sur les registres protestants d'Orthez, la naissance de Jeanne Harrioou de Pierre et Marie Lassalle. Le premier "o" porte un accent aigu ce qui veut dire qu'il se prononçait "o". (le "o" sans accent se prononçait "ou"). C'est une finale assez fréquente dans les patronymes et toponymes.Généralement on écrivait avec deux "o", le premier étant accentué. D'ailleurs il existe la commune de PUYOO qu'en béarnais on dit "Puyo-ou". Il n'est donc pas exclu que votre ancêtre soit d'origine béarnaise.
Vous ne dites pas à quelle époque vous l'avez trouvé. C'est important car à la fin du 18ème les protestants aisés se sont enfuis en Angleterre, Hollande, Allemagne , Suisse. D'autres béarnais migraient aussi pas mal en Espagne pour le commerce et le travail, et à St Domingue pour y cultiver le café comme planteurs ou employés de ces derniers...mais la Bretagne n'est jamais mentionnée comme étant une de leurs destinations. Un original peut-être... Par contre si c'est plus tard, c'est un peu moins improbable.
Quant à la signification, s'il n'y avait pas le "H" initial, on pourrait dire que c'est un dérivé de "arriu" = "ruisseau" ="rivière". Mais ce "H", très certainement aspiré, l'exclut. Il ne doit pas être mis par hasard.
Je ne me risquerai pas à d'autres hypothèses. La piste béarnaise est peut-être archi fausse. Mon épouse s'appelant "Guichaoua" certains la donnaient comme originaire du Maroc puisque là bas il y a la tribu des "Chichaoua". Or c'est pur breton.Vaut mieux être prudent!
Roger Castetbon
- 08/05/2008 10:58
- Forum : Linguistique
- Sujet : AVEU sens de "acquet"
- Réponses : 7
- Vues : 6442
Bonjour,
Dans le Sud Ouest et surtout en Béarn les biens propres étaient appelés biens avitins (venant des aïeux). Il y avait obligation morale de les conserver, interdiction de les amputer, de les vendre. Ils étaient dévolus en totalité à l'héritier unique (homme ou femme dans les vallées de montagne mais en plaine "le mâle exclut la femelle"). En cas d'extrême diffculté on pouvait les gager et les options de rachat au même prix pouvaient aller jusqu'à 41 ans en pays de Soule. Ce régime qui exclut les cadets a été la cause d'une émigration importante, d'abord vers la Caraïbe puis vers l'Argentine et l'Uruguay, car un(e) cadet(te) n'avait pour planche de salut que d'épouser un(e) héritier(e) car même s'il avait gagné de l'argent par son travail il n'y avait rien à vendre. Il ne pouvait s'installer que si son aîné(e) lui cédait un bout de terrain pour se construire une maison.
C'est donc un régime totalement différent de la coutume bretonne.
Cordialement
Roger Castetbon
Dans le Sud Ouest et surtout en Béarn les biens propres étaient appelés biens avitins (venant des aïeux). Il y avait obligation morale de les conserver, interdiction de les amputer, de les vendre. Ils étaient dévolus en totalité à l'héritier unique (homme ou femme dans les vallées de montagne mais en plaine "le mâle exclut la femelle"). En cas d'extrême diffculté on pouvait les gager et les options de rachat au même prix pouvaient aller jusqu'à 41 ans en pays de Soule. Ce régime qui exclut les cadets a été la cause d'une émigration importante, d'abord vers la Caraïbe puis vers l'Argentine et l'Uruguay, car un(e) cadet(te) n'avait pour planche de salut que d'épouser un(e) héritier(e) car même s'il avait gagné de l'argent par son travail il n'y avait rien à vendre. Il ne pouvait s'installer que si son aîné(e) lui cédait un bout de terrain pour se construire une maison.
C'est donc un régime totalement différent de la coutume bretonne.
Cordialement
Roger Castetbon
- 22/03/2008 22:19
- Forum : Linguistique
- Sujet : Profession: "Texier"
- Réponses : 12
- Vues : 12586