Un nommé Le Guern avait vu son nom francisé par un scribe lettré et porté sur la francisation en Le Mat. Comme chacun sait le mât du navire c'est gwern, qui sait ? Les anciens se servaient sans doute de perches d'aulne pour faire leurs mâts ? Notre Le Mat se présenta une autre fois dans un autre lieu pour une déclaration quelquonque, il prononca son nom à la bretonne en appuyant bien sur le "t" final et le vaillant secrétaire le francisa à nouveau en lui disant dorénavant tu t'appelleras "Le Bon" le mot breton mad en français donne bien "bon".
