Bonjour,

Mireille, merci beaucoup pour votre apport. N'étant pas latiniste, je ne peux pas commenter votre trouvaille.

Thérèse Blanc-Caugant (un grand merci à elle) m'a fait connaître ce livre :
Dictionnaire des cas de conscience ou décisions par ordre alphabétique des plus considérables difficultés touchant la morale et la discipline ecclésiastique (1741), et notamment ce passage (p125-126):

[img][img]http://www.zimagez.com/miniature/casiia.png[/img][/img]

[img][img]http://www.zimagez.com/miniature/casiib.png[/img][/img]

Où sont expliquées l'affinité de second genre et celle de troisième genre.
Et aussi que celles-ci ont été abolies en 1215, lors du quatrième concile de Latran.


Est il possible que le prêtre ait fait du zèle, en utilisant un empêchement aboli depuis cinq siècles ?

Affaire à creuser

chris34 a écrit :Dans ton cas François ,le fiancé est veuf et sa fiancé est veuve ,donc 3 possibilités à rechercher,Henry LE MEUR parent avec Jean RICHARD,Marie LE RIVIER parente avec Anne LAVELOU ,ou encore Anne LAVELOU parente avec Jean RICHARD .

Bonjour à tous,
étant concerné et travaillant sur ce cas précis, je suis intéressé par la troisième possibilité envisagée.
Avez vous des sources qui permettent de dire qu'il s'agit encore d'affinité ?
Il y a en fait deux intermédiaires au lieu d'un dans cette troisième possibilité.

Sinon, connaîtriez vous un autre exemple où serait mentionnée une affinité de tertio ?

Cordialement

Yves Le Meur