Anna SINQUIN était une soeur de mon arrière-grand-mère.

Marie Magdeleine PUSTOCH était une parente éloignée de mon arrière-grand-père dont la mère était une PUSTOCH.

La famille PUSTOCH est originaire de Saint-Thurien.

Les CAIL sont bien de Plouzévédé.

Bonsoir,

Je chercher à compléter l'ascendance de Guillaume (LE) BALP(E) époux de Anne SALAUN dont le fils François (LE) BALP(E) s'est marié à Marie Josèphe LE CAM le 22 novembre 1747 à Landeleau.

Guillaume LE BALPE a épousé Anne SALAUN à Collorec le 23 novembre 1711.

Il est originaire de Kergloff et fils de vivant François LE BALPE et de feue Françoise MAO.

Il a 28 ans.

A Kergloff, je trouve le baptême en 1680 d'un Guillaume LE BALP, fils de François LE BALP et Françoise LE MAO, du lieu dit de Magoarem

Françoise LE MAO est décédée en 1702 à Magoarem, âgée d'environ 50 ans et épouse de François LE BALP, qui lui s'est éteint en 1720, âgé d'environ 70 ans.

François LE BALP doit être fils de Henry LE BALP décédé en 1674 à Magoarem, âgé d'environ 70 ans.

A moins d'une homonymie, François LE BALP est frère de Mathieu LE BALP, marié en 1677 à Marie LE LAY, et décédé en 1679.

La tradition orale de la famille BALPE de Landeleau dit qu'ils sont apparentés au fameux Sébastien LE BALP qui est justement natif de Kergloff, né vers ou en 1639 et fils François LE BALP, meunier, et de Louise CARO(FF).

Est-ce que Henry LE BALP pourrait être un frère ou un cousin de François LE BALP le meunier ?

Sébastien LE BALP avait une soeur, Isabelle LE BALP, et une tante du même nom.

Une Isabelle LE BALP, fille de François LE BALP et Marguerite HOURMAN ou HORMAN est baptisée à Kergloff le 20 mai 1635.

Que sait-on de François LE BALP qui était prêtre à Kergloff ?

Merci d'avance pour vos compléments. La famille LE BALP aurait-elle fait l'objet d'une étude ou d'un article ?

David Quénéhervé

Non, c'est Marie Madeleine GODEFROY qui est décédée en 1780 et elle est dite épouse de Thomas SERY, ce qui enlève tout doute

Il y a quelques changements au sujet du penty mais je laisse Françoise CANIVET apporter les corrections.

Merci beaucoup

Françoise CANIVET m'a adressé tout à l'heure une copie de l'acte de décès d'Anne BENOIT. Elle est morte le 9 février 1898 à Quimper, célibataire, âgée de 72 ans et journalière. Elle est bien dite fille d'Alain BENOIT et Marie Jeanne LE GUILLOU et née à Trégourez.
Le décès est déclaré le 10 février par Yves PERENNEC, 32 ans, journalier à Quimper et Anne TERRIER, épouse BENOIT, 30 ans, cultivatrice à Kernevel.

Un moyen aurait été de consulter les tables des mutations après décès et de rechercher le nom des héritiers d'Alain BENOIT mais comme il est mort mendiant, il n'y a peut-être pas eu de déclaration.

Vous évoquez les mariages des autres enfants d'Alain BENOIT. Qu'avez-vous trouvé ?

Est-ce que vous connaissez la date de décès de Marie Jeanne LE GUILLOU ?

Merci

domiciliés à Kernével lesquels nous ont déclarés ne savoir signer
de ce requis après lecture

Les actes des baptêmes du 19e siècle doivent être aux Archives départementales également.
J'y avais consulté ceux de Scaër. Charles Yves SINQUIN y était souvent parrain.

Anne BENOIT était donc bien cuisinière, comme le dit la tradition orale des BENOIT, mais pas de la famille SINQUIN dont aucun membre ne vivait à Quimper.
Elle est ménagère à la naissance de son fils, un terme qui désigne plus ou moins une femme au foyer

Je ne pense pas que Louis BENOIT ait été rejeté, mais sa position d'enfant naturel n'a certainement pas été facile.
Le fait que la tradition évoque un legs fait à la mère, que Louis BENOIT revienne à Kernevel et précisement à Keransquer laisse penser qu'il n'a pas été mis au ban de la famille.
Si son père est bien le cousin germain de sa mère, c'était difficile de les exclure.
De toute manière, il ne faut pas se leurrer, dans un village de la taille de Kernevel tout se savait et le nom du géniteur devait être connu.
Je m'étais interrogé sur la rupture des fiançailles de Louis Joseph SINQUIN avec une jeune demoiselle MORVEZEN de Riec en 1860 alors que le contrat de mariage avait été signé.
La jeune fille se mariera à un homme dont le nom m'échappe sur l'instant mais qui a été maire de Nevez. Louis Joseph SINQUIN restera célibataire.
Impossible de lier les choses 150 ans plus tard.
En 1851, il vivait à Keransquer (il est dit cultivateur et propriétaire lors de prêts d'argent cette année là).
En 1856, il est propriétaire à Keransquer lors du bail de sa ferme du Quistinit à Yves GUILLOU et sa femme Marie Jeanne GLOANEC.
En 1858, il est cultivateur à Trégannan à Scaër (propriété de sa soeur Marguerite SINQUIN, épouse de Nicolas Marie BRIAND).
En 1867, il vit à Beriquel et est propriétaire (il prête 300 fancs à Yves SINQUIN en l'étude de Louis SINQUIN, son cousin germain notaire à Scaër).
Il est propriétaire à Keransquer en 1869. Il y est cultivateur en 1873. En 1875, il est propriétaire, toujours à Keransquer.
Louis SINQUIN est décédé sans avoir fait de testament et ce sont son frère Jean Louis, sa soeur Isabelle Marie, et les enfants de leur soeur Marguerite (neveux BRIAND) qui ont hérité.
En 1894, les consorts SINQUIN vendent aux neveux ROULLAND (famille d'usiniers à Concarneau, Sa nièce Marie Jeanne BRIAND, décédée en 1887, était mariée à Pierre Louis ROULLAND, négociant, maire de Concarneau, conseiller d'arrondissement).
La métairie de Kerdonnars à Kernevel appartenait à Louis Joseph SINQUIN qui l'avait receuillie de la succession de son père. Elle faisait un peu plus de 40 hectares.
En 1857, Joseph Louis SINQUIN, veuf, avait partagé ses biens (8 fermes).
Isabelle Marie avait hérité de Quistinit et Keransquer, au total environ 70 hectares.

Merci.
J'irai voir votre arbre, nous avons certainement d'autres branches en commun. J'ai toute une partie de mon ascendance sur Elliant et je descends notamment de Catherine LE MEVELLEC, épouse de Josph LE MANCHEC, mariés le 22 septembre 1777 à Elliant. Elle est fille de Vincent LE MEVELLEC et Jeanne LE MOAL.

Pour en revenir à la famille BENOIT.
Louis BENOIT aurait été reconnu en 1891 d'après la mention laconique en marge de son acte de naissance. Il s'agit obligatoirement d'une reconnaissance par sa mère car il a gardé son patronyme de naissance.

A son mariage le 9 mai 1894 à Kernevel, Louis BENOIT, 46 ans, est charron et domicilié à Keransquer.
Or Keransquer est aussi une propriété de la famille SINQUIN. C'est là qu'est décédé Joseph Louis SINQUIN en 1857.
Cette ferme a été léguée à sa fille Isabelle Marie SINQUIN (1810-1897), propriétaire, restée célibataire. C'est son neveu et filleul, Jean Joseph SINQUIN, né en 1873 du deuxième mariage de Jean Louis SINQUIN, qui en héritera.

Les témoins du marié sont Jean POUPON, 34 ans, et Louis FLECHER, 26 ans, tous les deux forgerons domiciliés à Keransquer, bienveillants au contractant.

Un contrat de mariage a été passé le 5 mai 1894 chez Me Benjamin LE STRAT, notaire à Rosporden. Il faudrait consulter cet acte pour savoir si le penty de Kerhallec figure dans les apports du marié.

Sa mère est en vie, âgée de 68 ans et est ménagère et domiciliée à Quimper.

La mairie de Melgven n'a pas trouvé le décès de Louis BENOIT entre 1926 et 1929, fourchette présumée pour son décès.

Bonjour,

Je vous remercie pour ces intéressants éléments.
il me semble qu'il y a des MEVELLEC dans la descendance d'Alain LE GUILLOU, frère de Françoise LE GUILLOU.
C'est un vague souvenir.
Sinon, j'ai reçu l'acte de naissance de Louis BENOIT. Il est né le 11 mars 1848 à Beriquel (aujourd'hui Bérial), fils d'Anne BENOIT, ménagère, domiciliée à Kernevel.
L'enfant est présenté par Louis SINQUIN, 37 ans.
Les témoins sont Guillaume SANSEAU, 35 ans, et Jean SANSEAU, 40 ans.

Beriquel était une propriété de la famille SINQUIN. C'est mon arrière-arrière grand-père Jean Louis SINQUIN qui en hérita.
Louis SINQUIN est Louis Joseph SINQUIN (1811-1877), propriétaire, frère de Jean Louis SINQUIN.
Les SANCEAU étaient des cultivateurs et ils étaient voisins et fermiers des SINQUIN. En 1844, Joseph Louis SINQUIN, époux de Françoise LE GUILLOU, avait loué à Guillaume SANSEAU et sa femme Anne LE GUIBAN une tenue à Gorréquer (ferme voisine de Bériquel) qui était auparavant louée à Charles SANSEAU et sa femme Marguerite CUTULLIC.

Le père de l'enfant serait-il Louis SINQUIN qui lui donne son prénom lors de la déclaration de naissance ? Il serait intéressant de consulter l'acte de baptême de Louis BENOIT et de voir qui son les parrain et marraine.
Un père peut-il être parrain de son fils ?

A bientôt

David Quénéhervé (Lille) CGF 1887

Bonsoir,

Merci pour ces renseignements sur les BENOIT qui intéresseront la descendance (présumée pour le moment) de cette branche (dont je ne fais pas partie).
Je suis uniquement un descendant de Françoise LE GUILLOU, épouse SINQUIN, par son fils Jean Louis SINQUIN (1815-1896), propriétaire et cultivateur à Kerancalvez en Bannalec.
Je connaissais l'ascendance de la famille LE GUILLOU jusqu'au couple Alain LE GUILLOU et Marie CRAP(P)EL, mariés à Trégourez en 1713 me semble-t-il.

David Quénéhervé (Lille) CGF 1887

Bonjour,

Mon ancêtre Marie POSTIC (Tourc'h 1749 - Elliant 1808) était épouse de Paul RANNOU en premières noces et en secondes d'Alain LE GUILLOU (Coray 1763-Elliant 1849). La seconde union date du 6 juillet 1784 et devait être urgente car le 31 octobre 1784, elle donne le jour à mon ancêtre Françoise LE GUILLOU, future épouse de Joseph Louis SINQUIN (1785-1857) propriétaire et cultivateur à Kernevel.
Je connais 3 enfants issus du couple Alain LE GUILLOU- Marie POSTIC (qui eut des enfants de sa première union)
Françoise, née en 1784
Alain, né en 1787, cultivateur à Elliant et époux de Marie Jeanne LE NAOUR
Marie Jeanne, née en 1790
Je viens d'apprendre que Marie Jeanne LE GUILLOU se maria à Trégourez le 23 février 1813 à Alain BENOIT (1788-1853), fils de Maurice BENOIT et Jeanne BENOIT.
Ils eurent au moins, à Trégourez :
Maurice en 1813
François en 1818
Marie Anne en 1822
Anne en 1825
Grégoire en 1830

L'hypothèse est que leur fille Anne BENOIT est la même que celle, âgée d'environ 22 ans, qui accouche d'un fils, prénommé Louis, le 11 mars 1848 à Kernevel. La tradition orale de la famille BENOIT lui attribue comme père un SINQUIN aisé chez lequel la mère était employée. Si ses parents sont bien le couple Alain BENOIT et Marie Jeanne LE GUILLOU, on pense naturellement qu'elle vivait chez son oncle et sa tante. Joseph Louis SINQUIN était en effet un gros propriétaire cultivateur, ayant deux fils adultes et célibataires. A l'inverse, Alain BENOIT, cultivateur à Kerhallec, semble avoir connu une situation difficile car il est dit mendiant à son décès. Sa fille aurait pu être placée ou confiée à des parents aisés. Peut-être en était la filleule ?

Anne BENOIT, la mère de Louis BENOIT, s'est retirée par la suite à Trégourez à Kerhallec où elle est devenue propriétaire d'un penty payé par le père de l'enfant (un de ses cousins ?). Le choix de cette commune et de ce hameau n'est certainement pas un hasard et renforce l'hypothèse selon laquelle elle est bien la fille du couple Alain BENOIT- Marie Jeanne LE GUILLOU.

En 1894, Louis BENOIT se marie à Kernevel à Anne TERRIER, native de la commune. En 1895, leur fils Pierre Corentin Louis BENOIT y naît. Le père est charron au bourg.

En l'absence de l'acte de décès d'Anne BENOIT dont la mort est postérieure au 9 mai 1894 puisqu'elle est vivante au mariage de son fils à cette date, je recherche tout indice permettant de confirmer sa supposée filiation. Elle peut être décédée à Kernevel, à Trégourez, à Coray ou encore à Melgven, communes dans lesquelles son fils a séjourné. Louis BENOIT et son épouse seraient morts à Melgven au Poteau Vert avant 1930 pour lui et en 1943 pour elle.

Tous les renseignements complémentaires et pistes seront les bienvenus. Merci d'avance pour votre aide.

David Quénéhervé (Lille)

Il conviendrait de consulter cet ouvrage :

http://www.ibisrouge.com/livre.php?ref=105

Cordialement

David Quénéhervé (Lille)

Bonsoir,

Non, je n'ai pas cet acte. Il serait décédé à l'hôpital.
Je peux demander à un correspondant de le rechercher mais il faudra patienter un certain temps.

Louis BENOIT est né à Kernevel le 11 mars 1848, fils naturel reconnu d'Anne BENOIT.
Anne BENOIT est née vers 1826.
A l'époque, il y a une famille SINQUIN aisée à Kernevel, issue de Louis SINQUIN (1748-1815) et Isabelle Claude BOEZEDAN (1751-1811). Leur fils Joseph Louis SINQUIN (1785-1857) était un gros propriétaire terrien de la commune (son frère Charles Yves SINQUIN avait la même position à Scaër dont il a été maire).
Le père présumé pourrait être soit mon ancêtre Jean Louis SINQUIN (1815-1896), propriétaire cultivateur, ou son frère Louis Joseph SINQUIN (1811-1877), propriétaire, enfants de Joseph Louis SINQUIN et Françoise LE GUILLOU.