Familles SIOC'HAN de 1250 à 1750

[mano]

Ma tante ayant plus de 80 ans.....

[Claudine DELAVEYNE]

moi moins mais je ne compte plus

[Claudine DELAVEYNE]

Bonjour à tous
yvonne
sur plouenan en 1765 naissance de marie Gabrielle CONTOUR
http://mnesys-portail.archives-finister ... x_in_visu=
VUE 11/255
mar marie gabrielle de SIOCHAN

bonne journée

[yvonne prigent]

Bonsoir a tous,
Bonsoir Claudine ,

Belle observation, en effet ... signature reconnaissable de ...Marie Gabrielle de SIOCHAN ... (née en 1715 /18O9 roscoff) ...
Parait-il qu'elle possédait la ferme de KERSABIEC , dont les SIOCHAN DE KERSABIEC portent le nom ...( Jean-Louis Joseph SIOCHAN , sgr de KERSABIEC x Calvez de Kersalou , est décédé avant 1776)...
(je note ceci , pour ceux que cette recherche intéresse)
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Donc l'acte dit ...
Marie-Gabrielle fille de JACQUES COUTOUR (Cottour) X Olive SIGNARD , née a LANVADEN sur cette paroisse , le 17/7/1765 a été baptisé le meme jour par le soussigné curé et tenue sur les fonds baptismaux de PLOUENAN par
Parr ...Jean COTTOUR
marr ...Delle Marie Gabrielle SIOCHAN , qui signe .
H. Inisan , curé de Plouénan ....
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Donc Marie Gabrielle est marraine , sans doute dans la famille des locataires de sa ferme de LANVADEN;
Plus tard , sa ferme sera dans l'héritage du MAIRE de ROSCOFF ...Gérard MEGE ...

(il n'y a pas , jusqu'a présent de signatures d'actes de Plouénan pour Gérard MEGE , donc ce n'était pas facile de trouver la ferme en question ..., maintenant avec ce nom de COTTOUR , ce sera peut-etre plus facile )
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Merci beaucoup CLAUDINE .
Je me demande s'il y a d'autres MARIE GABRIELLE a Plouénan ???...
Marie Gabrielle SIOCHAN , est cette femme de caractère qui restera a Roscoff , pendant la Révolution , et qui sera mise en prison 4 mois , a 8O ans ...
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Donc , la suite au prochain numéro .
Bien cordialement .
Yvonne Prigent .

[yvonne prigent]

Bonsoir a tous,
Bonsoir Claudine ,

En cherchant sur généanet , j'apprends que le couple ...

JACQUES COTTOUR X Olive SIGNARD , se sont mariés le 21/5/1759 a Plouénan , qu'Olive SIGNARD , est née le 7/2/173OL a Plouénan , que Françoise COTTOUR , leur fille , est née le 2O/3/1769 a Plouénan,

Jeanne COTTOUR , née le 21/9/1763 a Plouénan.
Les 2 soeurs se marient avec des THORIBE , de Plouvorn ...
Marie Gabrielle COTTOUR , décède a 2 ans en 1767
Yves , née en 176O , décède a 4 ans , en 1764

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Je vais chercher tous ces actes pour essayer d'en savoir plus ...
Bien cordialement .
Yvonne Prigent .

[Claudine DELAVEYNE]

Bonjour à tous
bonjour yvonne

une ° à plouénan en 1753 franois marie COTOUR fils de jean
mar Marie gabrielle SIOCHAN
VUE 115/323
http://mnesys-portail.archives-finister ... x_in_visu=

marie gabrielle COTOUR fille de jacques et olive SIGNARD
mar Marie gabrielle SIOCHAN
VUE 11/255
http://mnesys-portail.archives-finister ... x_in_visu=

les deux ° sont à lanvaden

bonne journée

[Claudine DELAVEYNE]

re

° JEZEQUEL gérard 1776 Roscoff
par gérard MEGE belle signature
VUE 170/204
http://mnesys-portail.archives-finister ... x_in_visu=

toujours roscoff VUE 172/204

deux demoiselles SIOCHAN
marie gabrielle et une SIOCHAN de KERSABIEC

http://mnesys-portail.archives-finister ... x_in_visu=

bonne journée

[yvonne prigent]

Bonsoir a tous,
Bonsoir Claudine ,

J'ai vu grace a Claudine l'acte suivant a Plouénan...
LANVADEN....
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François Marie Just fils de Jean COTOUR et de Magdeleine BECHU , est né le 16/9/1753 a Lanvaden sur cette paroisse a été baptisé le jour suivant par le soussigné pretre et tenu sur les fonds baptismaux de Plouénan par François CALVEZ et Delle Marie Gabrielle SIOCHAN qui signent .

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Résultat , il semble que Marie Gabrielle SIOCHAN , soit déjà propriétaire de cette ferme depuis 1753 ...(l'acte ci-dessus)
et aussi en 1765, pour la fille de Jacques COTTOUR X Olive SIGNARD , née a LANVADEN....
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( a suivre ) ...

Bonne soirée , et encore merci .
Yvonne Prigent .

[mickeybar]

Bonsoir,

Voici un SIOC'HAN rencontré au hasard de mes recherches :

Il s'agit de Jean Baptiste Marie SIOC'HAN de SAINT JOUAN, né le 13 février 1771 à St Malo, fils de Pierre Malo et de Françoise Félicité LE CLAVIER.

A la révolution, il était engagé dans le régiment de Cambrésis avec un autre Breton, Charles Marie de KERSAUSON.

Ils avaient été faits prisonniers en 1792, et conduits d'Orléans à Paris.
Ils furent finalement envoyés à Versaillesoù ils arrivèrent le 9 septembre avec 53 autres officiers et bourgeois.

Tous les prisonniers furent égorgés le 9 septembre et découpés en morceaux, leurs membres exposés sur les grilles du château.
Sept survécurent, mais mutilés.


3 jours avant, Jean Marie écrivait à sa soeur et sa mère :

Étampes, le 6 septembre.

Encore une dernière épreuve, ma chère et tendre sœur, pour toi. Mes maux paraissent être à leur comble ; ils vont vraisemblablement finir; prépare ma malheureuse maman à lire cette lettre fatale et dites l'une et l'autre que je ne serai plus lorsque vous la recevrez.
Je ne m'attendais pas, ma chère maman, de dater ma lettre d'Étampes ; on a voulu absolument nous mener à Paris. J'ai demandé l'agrément de pouvoir vous écrire encore une fois ; je ne vous cache pas que je suis bien persuadé que vous n'en recevrez jamais d'autre de ma main. Ma plus grande peine est de vous laisser en proie à une douleur éternelle ; pour ce qui me regarde, j'ai fait le sacrifice de ma vie en rapportant toutes mes pensées à Dieu. Si quelque chose peut adoucir ma position, c'est de savoir que je n'avais point mérité ma destinée, de connaître mon innocence. Puisse-t-elle faire votre consolation ! C'est le dernier vœu que je forme. Sarrante est resté à Orléans. Mes malheurs le ramèneront auprès de vous. Sa conduite auprès de moi est inimitable, ses bienfaits seront gravés dans mon cœur tant que je respirerai, vous vous en rappellerez également; je suis forcé de céder ma plume à mes camarades d'infortune, pour jouir de cette dernière douceur. Adieu, ma très-chère sœur et trop sensible mère, que de pleurs ne verserez-vous pas dans toute votre vie !
Nous arriverons dimanche à Paris.

Il avait 21 ans.

Bonjour !

J'avais entendu parler de cette histoire sans jamais lire quoique ce soit à ce sujet ! Et je prend donc connaissance de cette lettre, quelques jours avant le 400è anniversaire de sa mort...
Sauriez-vous me dire où vous avez vu cette lettre ?

[mickeybar]

JENA BAPTISTE MARIE SIOCHAN , né en 1776 ...
A 15 ans , il fut poourvu d'une lieutenance au régiment de CAMBRESIS ;

Toute l'histoire de son drame , prend plusieurs pages , mais je vous la noterai une autre fois , c'est extrèmement terrible , les références et les noms sont donnés ...

Jean Baptiste SIOCHAN était un jeune homme de 16 ans qui se voyait conduit a la mort , victime assurément très innocente; ni sa mère veuve , ni son frère, ni ses soeurs , ces personnes qu'il n'avait aucun mérite à aimer , ne recurent ces adieux ...

A la fin du récit ... il est dit ..Ainsi périt Jean Baptiste Marie SIOCHAN de St-Jouan , et avec lui , finit cette branche de sa Maison. On a de lui un portrait mal peint , sans doute, mais qui a son intéret ; Il est en uniforme , la famille heureuse avait dû vouloir feter son entrée dans l'Armée .
ect ...
Avec lui fut massacré un autre officier Breton , poreur d'un nom souvent associé au sien dans les alliances de la famille : un KERSAUSON ;

Bonsoir !

Décidement, l'histoire de ce Jean-Baptiste semble être bien connue !
Savez-vous où puis-je trouver ce portrait mal peint ?!
Vous parlez de nous donner une autre fois l'histoire de sa mort, je suis preneur !

Cordialement,

Michel

[mickeybar]

Bernard SIOC'HAN de TREQUINTIN ... ( absent pendant 4 ans pour ses affaires, a l'étranger) ... a son retour était déclaré noble , mais ayant le projet de marié sa fille avec le fils de son frère ...Laurent SIOC'HAN de Pratérou, il ne voulait pas , comprendre que son frère ne soit pas noble ...
Donc , il a entrepris de faire des démarches , pendant des dizaines d'années , pour arriver a ses fins ...
Et, il a réussi ...
C'est d'ailleurs , ces papiers là que e.Bay, vendait aux enchères, il y a quelques mois ...
Donc , leur généalogie complète ...

En fait si je comprends bien, en 2007, étaient vendu sur ebay, l'ensemble des papiers et preuves de noblesse réunis par Bernard SIOC'HAN de TREQUINTIN ?!

Savez-vous qui vendait ce lot ? et surtout qui les a acquis ?!
Je n'y connais pas grand chose en matière de vieux papiers, mais, au-delà de l'intérêt historique de ces papiers, j'imagine qu'à partir de ces docs il y a de quoi retranscrire sans erreur l'ascendance de Bernard SIOC'HAN de TREQUINTIN jusqu'à Hervé SIOC'HAN né vers 1220... non ?

[yvonne prigent]

Bonsoir a tous,

Je recopie , l'histoire de JEAN BAPTISTE SIOCHAN , seigneur de SAINT-JOUAN des Guérets ( près de st-Malo) ...

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(pour que cela soit compréhensible , ...tenez compte de la date de naissance véridique ...13/2/1771 St-Malo, donnée par Jean-Claude Bourgeois) ...

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"JEAN BAPTISTE MARIE SIOC'HAN, écuyer, IIIème seigneur de St-JOUAN , naquit en 1776 ( erreur , il a 5 ans de plus) .
A 15 ans , il fut pourvu d'une Lieutenance au Régiment de CAMBRESIS .
Ce Régiment était en garnison a Perpignan ; il s'y rendit.
A la suite d'un tumulte causé par l'indiscipline qui a cette époque s'était glissée dans tous les rangs , 28 officiers de ce régiment, accusés d'avoir voulu livrer la Citadelle aux Espagnols furent arrêtés et déférés par l'assemblée législative a la Haute Cour de Justice siégeant a Orléans.
JEAN BAPTISTE SIOC'HAN , fut de ce nombre.
Il fut avec ses compagnons conduit sur des charettes de PERPIGNAN a ORLEANS , au coeur d' l'hiver de 1791 a 1792, et emprisonné pendant 8 mois, attendant les résultats d'une procédure qui a la fin d'AOUT 1792 était a peine commencée.

Quelques jours avant le 1O Aout , le jury ayant acquitté plusieurs de ces prisonniers, les démagogues de Paris s'insurgèrent et réclamèrrent que ces Officiers et les autres prévenus soumis a la même juridiction, le Duc de BRISSAC a leur tête, fussent transférés a Paris afin d'y être jugés par le Tribunal Révolutionnaire établi le 17 AOUT .
Ne l'obtenant pas assez promptement au gré de leur désir , ils expédièrent vers Orléans une bande de sicaires a leurs ordres, commandée par FOURNIER l'Américain avoué par Danton .
Cette bande s'empara des prisons, enleva les prisonniers.

Ceux-ci ignoraient leur sort : on leur parlait vaguement de Paris , de SAUMUR , de Paris, d'un prompt jugement qui bientot les rendrait a la Liberté.
FOURNIER allait de chambre en chambre , se présentant a tous comme un procteceur résolu a les défendre : Néanmoins on leur enlève leurs effets et on les fait descendre dans les cours : là on leur lie les mains , on les entasse sur des chariots et l'on part , par la rue Bannier, vers PARIS, le 4 septembre au jour même où se faisaient les fameux massacres qui ont rendu ce mois si affreusement célèbre.
On arriva a ETAMPES où l'on séjourna 2 jours , puis ordre fut donné a la bande de conduire les prisonniers à VERSAILLES ....

( a suivre) ... tout de suite ....

Bien cordialement .
Yvonne PRIGENT.

[yvonne prigent]

suite)....

La vie et la mort de JEAN BAPTISTE MARIE SIOC'HAN ..........

suite ... ( ne le lisez que si vous avez le coeur bien accroché ...)

A ETAMPES, FOURNIER qui leurre ses victimes d'une hypocrite bienveillance leur permet d'écrire a leurs parents ou amis .
Les Gardes dessereront les liens qui tiennent les mains captives, mais de peur d'évasion on n'en délie que quelques-uns a la folis : ils se passaient de main en main les 3 ou 4 plumes qu'on avait mises a leur disposition.
Aussitot que l'un d'eux avait fini sa lettre on le garrottait de nouveau et on débouclait son voisin " .
FOURNIER garda cette correspondance dont il avait extorqué le dépôt et l'envoya, non a son adresse mais au Comité de surveillance et Mr MORTIMER-TERNAUX, dont on analyse ici le récit , a pu publier des Extraits dans son "HISTOIRE DE LA TERREUR ".
Dans ces épanchements des affections les plus légitimes, dit-il , on ne trouve aucune trace des prétendus complots que l'on accusait ces infortunés d'avoir noués avec les ennemis de leur Patrie ; on y reconnait au contraire des gens sûrs d'eux-mêmes quui ne se plaignent que des lenteurs de la justice, qui se fient a leurs bourreaux et parlent de leur délivrance ou de leur mort prochaine , sans affectation , sans amertume avec l'inimitable accent de l'innocence" .
Voici la lettre que JEAN BAPTISTE SIOCHAN écrivit à sa mère :

A MADAME de St-Jouan , à St-Malo ( ille-et-vilaine)
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ETAMPES , à 12 lieues de PARIS 7 septembre .
" Encore un mot ma Chère Maman, depuis dix Jours , nous avons plusieurs fois changé de destinée
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L'autre jour nous partions pour SAUMUR , hier pour PARIS , et demain pour VERSAILLES .
Voilà ce me semble , ou nous devons séjourner sous la garde de Dieu, et celle de M. de la troupe nationale Parisienne .
Je ferai mon possible pour vous donner de mes nouvelles .
Veuillez me rappeler au souvenir de ma famille et surtout des personnes qui voous entourent. Je n'ai aucun mérite a les aimer, je ne fais que céder à une impulsion de mon coeur, mais je les prie de songer quelquefois a celui qui est tout a vous et à elles .

J'ai remis à quelqu'un de confiance une lettre qu'il vous fera passer, s'il y a lieu. Je ne l'ai pas signée mais je vous la recommande. Ma tranquillité serait troublée si je pouvais croire qu'il en fut autrement. Il me coùte de vous quitter, mais enfin , il le faut ." .

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On ne peut faire des adieux à la fois plus discrets et plus tristement pieux, résignés et doux.

JEAN BAPTISTE SIOCHAN , était un jeune homme de 16 ans (21 ans en fait) qui se voyait conduit à la mort , victime assurément très inocente ;
ni sa mère veuve, ni son frère, ni ses soeurs, ces personnes qu'il n'avait aucun mérite à aimer , ne reçurent ces ADIEUX ;

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D'ETAMPES, on partit pour VERSAILLES où l'on arriva le 9 septembre , un Dimanche, jour exprès choisi afin qu'il y eut plus de peuple réuni dans les rues : on y entra par la rue des CHANTIERS , à 2 heures, on longea l'avenue de PARIS , la Place d'Armes, la rue de la Surintendance, on était censé diriger le Convoi , vers l'ancienne Ménagerie , on cheminait au milieu d'une affreuse cohue ;
Soudain , on ferme les grilles de l'Orangerie : les assassins comme s'ils obéissaient à un signal convenu se ruent sur tous les chariots à la fois et égorgent presqu'au même instant ceux qu'ils renfermaient liés pour la boucherie .
On compta 44 cadavres; quant à l'escorte de 15OO a 2OOO hommes armés de sabres , de fusils , de canons elle avait assisté immobile , comme si elle n'était venue là que pour protéger les assassins .
De ceux-ci les uns se dirigèrent vers les prisons de la ville, où ils continuèrent les massacres , les autres s'occupèrent sur les chariots à dépouillers les cadavres et à faire main basse sur tout ce que ces malheureux avaient sur eux.
D'autres enfin portent en triomphe les membres encore palpitants de leus victimes .
Quelques heures après , cette horde rentre dans Paris , et Danton l'accueille au Ministère de la Justice deshonoré ; il les complimente et leur dit : "Celui qui vous remercie , ce n'est pas le Ministre de la Justice, c'est le Ministre du Peuple. " .


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Ce récit est une horreur .... mais vous vouliez l'avoir .
et nous sommes au mois de septembre ( jour anniversaire de cet évènement) ...

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Bien cordialement a tous .
Yvonne Prigent .

[mickeybar]

Merci pour ce récit !


J'ai effectivement pu lire la lettre de Jean-Baptiste SIOCHAN DE SAINT JOUAN destinée à sa mère dans "Histoire la terreur" de Louis Mortimer-Ternaux (page 575), même s'il l'auteur l'attribue à Kersauson... Cette lettre a été écrite à Etampes le 7 septembre

En revanche je n'ai su trouver la lettre datée du 6 septembre, cité par JC Bourgeois... pourriez-vous m'indiquer d'où elle est extraite ?

Enfin, Yvonne, est-ce un récit personnel que vous faites de cet épisode ou est-ce tiré d'un livre ? Le cas échéant de quel livre s'agit-il ?

Merci !

[Jean Claude Bourgeois]

Bonjour Mickey,

La lettre du 6 décembre de Jean Marie à sa mère que j'ai citée plus avant est extraite de l'ouvrage :

Récits et souvenirs de famille, S. A. R. Madame, duchesse de Berry, et ses amis / 1832 / par le Vte Sioc'han de Kersabiec
Edité en 1895.
Chapitre II, page 13 et 14.